PARCOURS PARENT « EDUQUER AVEC UN REGARD ESPERANT ». 6 RENCONTRES EN PRESENTIEL OU EN VISIO DU 13 NOVEMBRE 2024 AU 9 AVRIL 2025.

Être parent, quel bonheur ! Mais, ça n’est pas toujours simple …

Un parcours spirituel autour de questions éducatives, pour prendre du recul par rapport aux relations avec nos enfants, à nos façons de faire et d’être, dans le concret de notre vie de parent.

Centre spirituel le Châtelard

Thèmes abordés:

1.Éduquer avec un regard espérant
2. La parole en famille
3. Une autorité qui libère
4. Cet enfant qui nous déroute
5. Ouvrir nos enfants au monde
6. Avancer en confiance

Contact : mrg@jesuites.com

Inscription au parcours en présentiel : Parcours parents – Le Châtelard

Inscription au parcours en visio : Inscription Parcours Parents en VISIO

WEEK-ENDS GRANDS-PARENTS – 6 et 8 DECEMBRE 2024 A CHATEAUNEUF DE GALAURE.

Transmettre la foi à mes petits-enfants

Grands-parents, cultivons l’espérance pour le devenir de nos petits-enfants.

Au cœur de notre famille, comment leur transmettre ce qui nous fait vivre ? 

Dans le respect et l’audace, comment trouver notre place d’artisans de paix ?

Week-end Anne et Joachim : « Transmettre la foi à mes petits-enfants »

Ce week-end s’adresse aux  grands-parents en couple ou en solo.

Prédicateur :

Le père Michel MARTIN-PRÉVEL est membre de la Communauté des Béatitudes depuis 1981. Il accompagne des couples en difficulté et divorcés. Veuf après trente-deux ans de mariage, il est père de trois enfants et grand-père.

Descriptif :

Grands-parents, cultivons l’espérance pour le devenir de nos petits-enfants.

Au cœur de notre famille, comment leur transmettre ce qui nous fait vivre ? 

Dans le respect et l’audace, comment trouver notre place d’artisans de paix ?

Animation : des membres de Foyer et des amis de la communauté.

Infos et inscription: Week-end grands-parents – Anne et Joachim : Transmettre… – Les Foyers de Charité

ARTICLE CNAFC: AIDER SANS S’EPUISER.

Demander, proposer et aides : nombreuses sont les familles qui se rendent régulièrement des petits ou grands services. Attention toutefois à ne pas s’épuiser.

« Dans 95 % des cas, tout se passe bien », affirme Atanase Périfan, témoin au quotidien de la générosité de particuliers et de familles qui se viennent en aide, dans le cadre de ses initiatives Voisins solidaire et L’heure Civique. « Mais il arrive que certains se sentent dépassés par les services dans lesquels ils se sont engagés, ou quand ils ont donné de leur temps et de leur énergie et qu’ils ne sentent aucune reconnaissance. » même si ces désillusions font partie du « risque de la relation à l’autre », un certain discerne ment s’impose donc, pour le bien de celui qui rend service comme de celui qui en bénéficie.

Avant tout, « il faut s’assurer que la personne est prête à se faire aider », recommande Hélène Despaigne, co-fondatrice de marraine & Vous, association qui met en relation des familles et des mères célibataires pour un accompagnement amical. Attention à ne jamais adopter une posture de sauveur :
« c’est elle-même qui va se sauver en reprenant confiance en elle, grâce à notre écoute ».

La relation d’aide est ajustée quand les personnes se mettent à l’écoute les unes des autres, estime aussi Bertrand Hartmann, fondateur de l’association Parents-Vacances, via laquelle des propriétaires prêtent leur résidence secondaire à des familles défavorisées : « Ils n’ont pas toujours les mêmes caractéristiques ou les mêmes codes, alors il est important de prendre ce temps de l’écoute ». Le responsable associatif appelle aussi à la clarté : « Pour éviter les déceptions, chacun doit être précis quant à ses attentes ».

Pour les particuliers qui s’entraident, il est sage de commencer par de menus services, conseille quant à lui Atanase Périfan, ce qui permettra peu à peu de « savoir jusqu’où on est prêt à aller ». Et quand la situation d’une famille requiert des compétences particulières, il est bon de ne pas rester seul : « il faut avoir l’humilité de ne pas vouloir tout faire. Nous avons tous des ressources complémentaires ». dans certains cas, l’aide précieuse que l’on peut apporter est de servir de relais avec les travailleurs sociaux.

COMMUNIQUE DE PRESSE UNAF : JOURNEE NATIONALE DES AIDANTS :Il faut encore davantage aider les aidants familiaux. (04/10/2024).

A l’occasion de la Journée nationale des aidants, l’Unaf insiste sur l’absolue nécessité de faire progresser les droits et le soutien des aidants. La Stratégie « Agir pour les aidants 2023 – 2027 », le Service public départemental de l’Autonomie (SPDA) et le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025 sont autant d’occasions immédiates pour apporter des réponses appropriées et satisfaisantes à ces millions de personnes qui (parfois au détriment de leur propre santé et de leur carrière) jouent un rôle indispensable pour la société.

Pour un allongement du congé proche aidant et de son indemnisation. Aujourd’hui, un aidant ne peut bénéficier que d’un congé Proche Aidant d’un an sur l’ensemble de sa carrière et de seulement 3 mois de versement de l’Allocation Journalière Proche Aidant (AJPA), ce qui est insuffisant. A partir du 1er janvier 2025, un aidant pourra solliciter une nouvelle période de versement de l’AJPA s’il doit aider un autre membre de sa famille, c’est une première avancée. L’Unaf demande que la durée de versement de l‘allocation soit alignée sur la durée du congé et qu’ainsi tous les aidants puissent bénéficier de ce prolongement, dès la première personne aidée.

Vers une définition unique et harmonisée de l’aidant familial
Les aidants familiaux d’un proche atteint d’une maladie chronique ne sont toujours pas reconnus, malgré l’impact de ce rôle d’aidant sur leur santé, leur vie personnelle et professionnelle…L’Unaf plaide pour que ces aidants familiaux soient inscrits dans une définition légale harmonisée, qui inclut également les aidants d’un proche en perte d’autonomie lié à l’âge ou au handicap, afin qu’ils puissent bénéficier des mêmes dispositifs.

Pour des parcours plus lisibles grâce au Service public départemental de l’Autonomie
Déployé en 2025, le service public départemental de l’autonomie (SPDA) devrait favoriser l’application du « Dites-le nous une fois » pour les personnes âgées, en situation de handicap ainsi que leurs aidants, au sein d’un même département. Pour l’Unaf, investie dans les travaux de préfiguration, ce SPDA doit améliorer la lisibilité des démarches et les parcours pour chaque personne concernée, y compris les aidants. Son déploiement doit s’articuler avec le lancement de l’ensemble des travaux de la 2e Stratégie « Agir pour les aidants 2023 – 2027 », sans lequel le repérage, le soutien apporté et le répit des aidants resteront territorialement disparates.

Outre la défense des intérêts des familles et des aidants familiaux, le réseau Unaf-Udaf-Uraf développe activement des services spécifiques en direction des aidants familiaux : Médiation entre aidants et aidés, soutien aux aidants, information sur les aides et les solutions de répit, Information et soutien aux tuteurs familiaux, dispositifs d’habitat inclusif…
Tous ces services sont à retrouver sur : https://www.pourlesfamilles.fr/etre-aidant/

Contact presse : Laure Mondet: lmondet@unaf.fr 01 49 95 36 05

L’Union Nationale des Associations Familiales, institution engagée avec et pour les familles depuis 1945 est l’expert des réalités de vie des familles. Porte-parole officiel des familles auprès des pouvoirs publics, elle représente et soutient les 18,5 millions de familles vivant sur le territoire français et défend leurs intérêts. Pluraliste, elle regroupe 73 mouvements familiaux et près de 6 000 associations familiales d’une grande diversité. Elle anime le réseau des Udaf et Uraf qui mènent des missions de représentation et de services aux familles dans chaque département et dans chaque région.