« ALERTE RÉPUBLICAINE DE TYPE GÉNÉRO-INCLUSIVE NIVEAU 5 »

Objet : présence anormale de familles stables, hétéroparentales et nourricières sur le territoire.

Signalement :

Plusieurs individus ont été repérés dans la nature, en groupe compact, généralement constitué d’un homme (non déconstruit), d’une femme (à jupe ou jean, mais manifestement consentante), et de plusieurs petits humains élevés sans écran intracrânien, répondant encore à des injonctions du type « viens dîner» ou « pose ce couteau, c’est ton petit frère ».

Ces foyers suspects sont considérés comme à haute teneur en bon sens.

Ils pratiquent l’autorité parentale, le rangement des Lego, la transmission intergénérationnelle et le pardon, sans cellule de soutien psychotraumatique.

En un mot comme en mille : la famille.

Oui, la vraie. 

Pas celle des manuels de SVT réécrits par une commission de wokistes quadrilingues.

Pas celle de la fiction Netflix où l’enfant corrige les parents, le chien fait du yoga et la grand-mère est fluidogame.

Non, la famille à l’ancienne, où on se dispute, on s’aime, on élève, on survit, on relit les bulletins scolaires et on pleure le soir dans la salle de bains avant de revenir sourire au petit-déj.

Et là, le danger est immense : ces gens-là ne réclament rien.

Ils ne manifestent pas.

Ils ne demandent pas de prime à la parentalité responsable.

Ils tiennent. Ils endurent. Ils transmettent.

Mais le vrai problème, c’est qu’ils sont « éparpillés façon puzzle »(Merci Michel)

Chacun dans son coin.

Un peu honteux d’être normaux.

Un peu las d’être invisibles.

Un peu seuls.

Jusqu’à ce qu’ils découvrent…

LES AFC.

Oui madame. 

Les Associations Familiales Catholiques.

Un groupuscule hautement subversif de parents en jean propre, de mères pas dépressives, de pères pas disparus, et d’enfants qui disent bonjour sans avoir suivi de stage CNED sur la gestion de l’espace personnel.

Ces gens-là… ils ont un plan.

Ils défendent les familles devant les élus,

Ils répondent aux attaques médiatiques,

Ils organisent des soirées où on peut dire « éduquer » sans se faire reprendre par un militant intersectionnel,

Ils forment les parents à la liberté… et à la fermeté (ce mot tabou).

Et ils ne s’excusent pas.

Tu peux les rejoindre.

Même si tu ne sais pas prier.

Même si tu confonds Vatican II et R2-D2.

Même si tu as juste envie qu’on arrête de te faire passer pour un rétrograde réac parce que tu veux élever tes enfants autrement qu’en déléguant à l’Éducation nationale et à un iPad.

👉 Alors oui, adhère aux AFC: Odoo

C’est simple. 

C’est beau. 

C’est un acte de guerre.

Contre le décervelage.

Contre la solitude.

Contre la démission.

Et puis franchement, t’as bien renouvelé ta carte de fidélité Picard.

Tu peux faire un effort pour tes enfants.

L’AIDE AUX FAMILLES UNE NOUVELLE FOIS ATTAQUEE ! (COMMUNIQUE DE LA FEDERATION DES AFC DU RHÔNE).

Notre local lyonnais (69), véritable lieu de vie qui nous permet d’organiser des
manifestations avec la présence d’enfants, des formations éducatives, des
rencontres pour les familles… a été, une nouvelle fois, la cible de dégradations
majeures.

Malgré les plaintes déposées et les signalements répétés, aucune
mesure concrète n’a été prise pour protéger ce lieu pourtant essentiel à la vie
associative et au soutien des familles.


Nous déplorons vivement cette situation et appelons à une réaction rapide des
pouvoirs publics nous permettant ainsi de maintenir notre soutien aux familles.


RÉAGIR À CES DÉGRADATIONS,
C’EST SOUTENIR LES FAMILLES.

Les AFC sont reconnues d’utilité publique depuis 2004.
La Confédération nationale des AFC dispose depuis 2008 de l’agrément national d’association d’usagers du système de santé et, depuis 2010, de l’agrément « jeunesse et éducation populaire ».

Je soutiens les AFC: Odoo

ARTICLE CNAFC – LOI FIN DE VIE : L’EXAMEN SE POURSUIT A L’ASSEMBLEE.

L’examen dans l’hémicycle de la proposition de loi fin de vie se poursuit. Dans la dernière semaine avant le vote solennel du texte, les députés continuent à amender le texte. Le point avec Pascale Morinière, interviewée par RCF.

Une interview de Dr Pascale Morinière, présidente de la Confédération nationale des AF à retrouver sur RCF.

RCF : La proposition de loi Falorni sur la fin de vie est en cours d’examen à l’Assemblée nationale. Où en est-on ?

P.M.  : L’examen du texte sur les soins palliatifs s’est achevé vendredi soir. Les députés ont ensuite entamé l’examen de celui sur « le droit à l’aide à mourir » qui va se poursuivre toute cette semaine.

Les députés ont commencé l’examen des 2600 amendements. Ils ont voté samedi soir l’article 2 qui valide la création d’un « droit à l’aide à mourir » et lève l’interdit de donner la mort.

Lundi, hier, la discussion s’est poursuivie sur les conditions d’accès à l’aide à mourir.

RCF : Quelles sont ces conditions ?

P.M. : Il faut être majeur, Français ou habitant en France de façon stable, être apte à manifester sa volonté. Cela s’adresserait à des malades souffrant d’une affection grave et incurable, dont le pronostic vital est engagé, en phase avancée ou terminale. Ces malades endurant une souffrance physique ou psychologique liée à cette affection et réfractaire aux traitements ou insupportable.

Autrement dit, de nombreuses pathologies sont concernées dès le diagnostic. Le critère de souffrance psychologique, tout à fait subjectif, ouvre à de nombreuses situations. Beaucoup de maladies engagent le pronostic vital mais, bien soignées, n’empêchent pas de vivre pendant des années, parfois des dizaines d’années. C’est le cas de l’insuffisance rénale compensée par la dialyse, du diabète insulino dépendant, de nombreux cancers…

RCF : Vous voulez dire que le cadre ne concerne pas seulement des exceptions en toute fin de vie ?

P.M. : Bien sûr que non ! Cela concerne aussi tous les malades du cœur, les maladies neurodégénératives, les maladies endocriniennes, un très grand nombre de maladies infectieuses etc… qui entrent dans les critères d’accès parce qu’elles engagent le pronostic vital.

Chacun a dans ses proches des parents ou des amis qui seraient « éligibles » à l’aide à mourir. Ce ne sont pas des cas extrêmes et exceptionnels.

Dès la discussion de ce texte, on constate que dès lors que l’interdit de donner la mort est levé, il n’y a plus de critère sûr et définitif. Les glissements s’enchainent sur une pente glissante que nul ne parvient plus à arrêter comme les pays étrangers, Pays Bas, Belgique, Canada nous le montrent.

J’encourage vivement les auditeurs à écrire à leur député pour faire part de leurs inquiétudes sur cette loi avec le site Ensemble pour la vie.