PROCHAINES FORMATIONS GRANDIR ET AIMER (NANTES, TOULOUSE ET PARIS)

De bons outils EARS permettent de donner aux enfants une vision positive de la relation de couple et de la sexualité. Les AFC en sont convaincues : mieux vaut présenter une vision positive de la vie sexuelle aux enfants avant que les images ou vidéos qu’ils pourront voir ne leur en donne une négative.

C’est pour cette raison que les AFC accompagnent les familles au sujet de l’EARS avec notamment Grandir & Aimer, un programme pour former de futurs intervenants à l’EARS et une websérie disponible gratuitement en ligne.

EARS : la formation “Grandir & Aimer” pour les futurs intervenants

Pour répondre aux besoins des écoles, des clubs d’enfants ou des groupes de scoutisme ou de patronage, les AFC forment des adultes pour parler de sexualité aux enfants et être capable de répondre à leurs interrogations. L’éducation à l’amour est la première pierre de leur vie affective d’adulte. Dans le cadre d’un projet cohérent et concerté, les établissements peuvent solliciter les AFC ou financer la formation à leurs propres intervenants. Père ou mère de famille, enseignant, catéchiste ou éducateurs peuvent être formés. Il est idéal de se former en binôme pour pouvoir intervenir à deux devant devant les enfants…

Venez vous former à cette mission !

EN SAVOIR PLUSEARS – Formation Grandir & Aimer (afc-france.org)

AIMER EN VERITE : CYCLE DE CONFERENCES EN LIGNE EN 2025 POUR TOUS LES COUPLES ORGANISE PAR LES AFC.

Avec Aimer en vérité, les AFC proposent aux couples de suivre en ligne un cycle de conférences, sur le thème de la tendresse et de la sexualité en 2025.

L’idée du programme Aimer en vérité  provient d’un constat partagé : depuis plusieurs années, il est frappant de voir la détresse de nombreux couples, qu’ils soient jeunes ou moins jeunes, avec des impacts très lourds, notamment sur leurs enfants, parfois nombreux. D’autre part, les préparations au mariage sont un point de départ essentiel mais il existe très peu de propositions pour un “service après-vente” du mariage.

Aimer en vérité répond à ce défi en proposant aux couples un cycle de 3 conférences en ligne gratuites chaque année, afin d’approfondir le mystère du couple chrétien. Cette année, les formations portent sur le thème de la tendresse et de la sexualité.

Le but de ce programme est d’inviter tous les couples à prendre du temps pour se fortifier, pour se former en vue de prévenir les difficultés qui surgiront durant leur vie.

Aux AFC, nous savons bien que lorsque les couples sont stables et unis, c’est leur famille qui va bien et en définitive toute la société qui en bénéficie.

De son canapé, partout en France !

La formule visioconférences permet à la fois de toucher tous les couples de France et d’ailleurs.

C’est aussi l’occasion de s’organiser une petite soirée à deux et d’être créatif : dîner en amoureux devant l’écran, boire une coupette de champagne pour fêter ce moment que l’on s’offre, faire un feu dans la cheminée, etc. A vos initiatives !

Chaque cycle de conférences est composé du témoignage d’un couple, puis lors d’une deuxième soiréede l’apport d’un psychologue conjugal. Enfin, la dernière conférence donne une vision spirituelle du sujet grâce à l’intervention d’un religieux.

Le couple est le socle de la famille. Nous vous espérons nombreux et n’hésitez pas à en faire profiter les couples de votre entourage, les associations familiales ou les équipes de préparation au mariage.

Voir le programme Aimer en vérité 2025

Infos pratiques et dates à retenir

Les conférences se déroulent en ligne, de 21h à 22h. Pour recevoir le lien, pensez à vous inscrire préalablement.

  • jeudi 23 janvier 2025 : Comment le Seigneur a restauré leur unité conjugale ? par un couple marié, parents et grands-parents, membres de la communion Priscille et Aquilla
  • jeudi 20 mars 2025 : Sexualité : l’harmonie des différences – par Marc d’Anselme, thérapeute de couple, ancien général dans l’Armée de terre
  • mercredi 21 mai 2025 : Couple, osez la tendresse ! par le Père Potez, prêtre du diocèse de Paris et accompagnateur depuis 35 ans de fiancés.

REDECOUVREZ LES BROCHURES DES AFC (EN VENTE DANS VOTRE FEDERATION DU RHÔNE).

Nos brochures

Les AFC proposent à la vente des brochures sur différents thèmes, que vous pouvez vous procurez au bureau de la fédération des AFC du Rhône (4 rue des Remparts d’Ainay, 69002) ou en envoyant un mail à fafcrhone@hotmail.fr.

  • Confusion dans le genre – Comment aider vos enfant à y voir clair ?
  • La fin de vie en question
  • Guide familial des funérailles catholiques

Dans la série 12 questions :

  • 12 questions à se poser sur l’argent de poche [NOUVEAUTE SEPTEMBRE 2024]
  • 12 questions à se poser sur les réseaux sociaux [paru 2023]
  • 12 questions à se poser pour protéger ses enfants de la pornographie
  • 12 questions à se poser avant de crier sur ses enfants

Pour toute commande, vous pouvez envoyer un mail à la fédération des AFC du Rhône: fafcrhone@hotmail.fr

ARTICLE CNAFC: AIDER SANS S’EPUISER.

Demander, proposer et aides : nombreuses sont les familles qui se rendent régulièrement des petits ou grands services. Attention toutefois à ne pas s’épuiser.

« Dans 95 % des cas, tout se passe bien », affirme Atanase Périfan, témoin au quotidien de la générosité de particuliers et de familles qui se viennent en aide, dans le cadre de ses initiatives Voisins solidaire et L’heure Civique. « Mais il arrive que certains se sentent dépassés par les services dans lesquels ils se sont engagés, ou quand ils ont donné de leur temps et de leur énergie et qu’ils ne sentent aucune reconnaissance. » même si ces désillusions font partie du « risque de la relation à l’autre », un certain discerne ment s’impose donc, pour le bien de celui qui rend service comme de celui qui en bénéficie.

Avant tout, « il faut s’assurer que la personne est prête à se faire aider », recommande Hélène Despaigne, co-fondatrice de marraine & Vous, association qui met en relation des familles et des mères célibataires pour un accompagnement amical. Attention à ne jamais adopter une posture de sauveur :
« c’est elle-même qui va se sauver en reprenant confiance en elle, grâce à notre écoute ».

La relation d’aide est ajustée quand les personnes se mettent à l’écoute les unes des autres, estime aussi Bertrand Hartmann, fondateur de l’association Parents-Vacances, via laquelle des propriétaires prêtent leur résidence secondaire à des familles défavorisées : « Ils n’ont pas toujours les mêmes caractéristiques ou les mêmes codes, alors il est important de prendre ce temps de l’écoute ». Le responsable associatif appelle aussi à la clarté : « Pour éviter les déceptions, chacun doit être précis quant à ses attentes ».

Pour les particuliers qui s’entraident, il est sage de commencer par de menus services, conseille quant à lui Atanase Périfan, ce qui permettra peu à peu de « savoir jusqu’où on est prêt à aller ». Et quand la situation d’une famille requiert des compétences particulières, il est bon de ne pas rester seul : « il faut avoir l’humilité de ne pas vouloir tout faire. Nous avons tous des ressources complémentaires ». dans certains cas, l’aide précieuse que l’on peut apporter est de servir de relais avec les travailleurs sociaux.

ARTICLE CNAFC: CREER DES ENVIRONNEMENTS FAVORABLES POUR DEVELOPPER LA SOLIDARITE.

Créateur de la Fête des Voisins, de l’Heure Civique et de Voisins Solidaires, Atanase Périfan réfléchit à une nouvelle initiative qui encouragerait l’échange de services entre les familles.

On parle beaucoup de solidarité, mais comment définir cette notion ?

La solidarité est un mot qui peut par fois être galvaudé. On peut lui préférer d’autres mots, comme celui de charité. Quoi qu’il en soit, il me rappelle ce que l’on apprenait en classe de troisième, quand on étudiait les différents états de la matière : liquide, solide ou gazeuse. La solidité d’une matière est due à l’interaction entre les atomes. Je crois qu’il en va de même pour la société : c’est quand il n’y a plus d’interactions entre les éléments qui la composent que celle-ci se fragilise. Or, aujourd’hui beaucoup de
gens se sentent inutiles parce qu’ils ont de moins en moins l’occasion d’être solidaires les uns des autres. la question est donc de savoir comment créer un environnement favorable pour que la solidarité
soit encouragée.

Comment des familles peuvent-elles être solidaires les unes des autres ?

À l’intérieur même de la famille, la solidarité ne s’exerce plus comme autrefois, une fête des voisins dans un quartier parisien quand on partageait la même cour de ferme. Aujourd’hui, quand on habite à Marseille, il est difficile d’accompagner au quotidien son père malade d’Alzheimer qui vit à Lille. En revanche, les familles peuvent s’aider entre elles, avec un peu d’imagination !

Quand j’étais jeune élu à Paris en 1984, nous avons subitement perdu le local d’une crèche. c’était très compliqué pour de nombreuses familles. J’ai alors proposé qu’elles s’entraident en accueillant les enfants les uns des autres une demi-journée à tour de rôle. La solution était souple et gratuite, cela a très bien fonctionné. d’autres familles forment un pédibus pour emmener leurs enfants à l’école, ou gardent les enfants d’une autre, le temps d’un week-end. Les deux ingrédients pour que cette solidarité prenne forme sont la relation et le moteur : il faut bien une personne qui lance le groupe Whatsapp des parents de l’école, qui organise une bourse aux services, ou que sais-je !

Vous avez fondé l’Heure Civique, qui encourage les solidarités de proximité, et réfléchissez aujourd’hui à en proposer une déclinaison familiale, pourquoi ?

L’heure Civique Famille viserait à démultiplier les offres de service qui existent çà et là. À mon sens, il faudrait partir des écoles, le lieu dans lequel toutes les familles ont les mêmes besoins, au même
endroit et en même temps. On pourrait organiser une grande rencontre à la rentrée, avec des panneaux ou d’autres outils. L’essentiel est de mettre les personnes en relation, en orientant les échanges sur les menus services que chacun peut rendre.

Les fêtes de fin d’année peuvent aussi devenir un lieu où les personnes se rencontrent et s’entraident, si on les organise dans ce sens… Parmi les fruits de cet esprit de solidarité, il y a l’exemple qu’il transmet aux enfants. Cela ne peut qu’orienter leur état d’esprit. J’en
ai souvent fait l’expérience : quand vous demandez à quelqu’un ce qui l’a poussé à monter une initiative ou une association tournée vers les autres, il évoque très souvent l’exemple que lui ont donné ses parents.