STAGE LYCEEN « MIEUX SE CONNAITRE POUR MIEUX CHOISIR SA VOIE ».

Comment découvrir mes forces cachées qui me permettront de me donner confiance en moi? Comment trouver mes ressources intérieures pour aller de l’avant et faire mes propres choix ?

Un atelier dédié aux lycéens de 15 à 18 ans. Ils partagent en petits groupes leurs doutes et réflexions dans un environnement bienveillant et sans jugement. Un atelier qui permet d’apprendre à mieux se connaître pour avancer et comprendre les rapports aux autres.

La connaissance de soi consiste à apprendre à se découvrir, à savoir qui nous sommes, à identifier ce qui nous anime, ce qui nous fait vibrer. Initier les adolescents à la connaissance de soi est un vrai atout pour leur permettre de progresser plus sereinement en cette période charnière de leur vie.

Mieux se connaître permet à l’adolescent(e) de comprendre ses comportements, ses réactions, l’environnement propice à son évolution. Il/elle s’acceptera plus facilement. Se connaître lui permettra également de déceler ses ressources intérieures, d’explorer ses multiples facettes pour identifier ses talents, ses mécanismes de réussite, tout en acceptant des limites. Plus il/elle se connaîtra, plus il/elle sera définir ses propres envies. Enfin, mieux se connaître donnera du sens à ce qu’il/elle fait, l’aidera à avancer, et à grandir.

« Être acteur de sa vie, faire ses propres choix, et aller de l’avant en se fixant notamment ses propres objectifs, passe tout d’abord par une meilleure connaissance de soi. En effet, comment avancer, quand on ne sait pas qui on est, et où on veut aller ? En revanche, du moment où le jeune adulte  identifie ses valeurs guidantes, ses motivations, comprend ses comportements, et l’environnement dans lequel il serait le plus épanoui, il ouvre son champ de vision. »

Séverine Roiret, accompagne les 14-25 ans à découvrir leurs personnalité, et prendre confiance en eux pour entreprendre positivement leur avenir – Elle est également animatrice des ateliers connaissance et estime de soi pour les adolescents.

Si vous souhaitez permettre à votre adolescent de découvrir des outils pour améliorer sa connaissance et son estime de soi, nous vous proposons un atelier d’une journée et demie  :

Journée 1 (6 heures) – Connaissance de soi

Journée 2 (3 heures) – Estime et confiance en soi

Stage lycéens – Maison Familya de Lyon (familya-lyon.fr)

STAGE LYCEEN « MIEUX SE CONNAITRE POUR MIEUX CHOISIR SA VOIE ».

Comment découvrir mes forces cachées qui me permettront de me donner confiance en moi? Comment trouver mes ressources intérieures pour aller de l’avant et faire mes propres choix ?

Un atelier dédié aux lycéens de 15 à 18 ans. Ils partagent en petits groupes leurs doutes et réflexions dans un environnement bienveillant et sans jugement. Un atelier qui permet d’apprendre à mieux se connaître pour avancer et comprendre les rapports aux autres.

La connaissance de soi consiste à apprendre à se découvrir, à savoir qui nous sommes, à identifier ce qui nous anime, ce qui nous fait vibrer. Initier les adolescents à la connaissance de soi est un vrai atout pour leur permettre de progresser plus sereinement en cette période charnière de leur vie.

Mieux se connaître permet à l’adolescent(e) de comprendre ses comportements, ses réactions, l’environnement propice à son évolution. Il/elle s’acceptera plus facilement. Se connaître lui permettra également de déceler ses ressources intérieures, d’explorer ses multiples facettes pour identifier ses talents, ses mécanismes de réussite, tout en acceptant des limites. Plus il/elle se connaîtra, plus il/elle sera définir ses propres envies. Enfin, mieux se connaître donnera du sens à ce qu’il/elle fait, l’aidera à avancer, et à grandir.

« Être acteur de sa vie, faire ses propres choix, et aller de l’avant en se fixant notamment ses propres objectifs, passe tout d’abord par une meilleure connaissance de soi. En effet, comment avancer, quand on ne sait pas qui on est, et où on veut aller ? En revanche, du moment où le jeune adulte  identifie ses valeurs guidantes, ses motivations, comprend ses comportements, et l’environnement dans lequel il serait le plus épanoui, il ouvre son champ de vision. »

Séverine Roiret, accompagne les 14-25 ans à découvrir leurs personnalité, et prendre confiance en eux pour entreprendre positivement leur avenir – Elle est également animatrice des ateliers connaissance et estime de soi pour les adolescents.

Si vous souhaitez permettre à votre adolescent de découvrir des outils pour améliorer sa connaissance et son estime de soi, nous vous proposons un atelier d’une journée et demie  :

Journée 1 (6 heures) – Connaissance de soi

Journée 2 (3 heures) – Estime et confiance en soi

Stage lycéens – Maison Familya de Lyon (familya-lyon.fr)

(ARTICLE CNAFC) LE SPORT, UNE PUISSANTE ECOLE DE VIE.

Pratiqué en amateur, en professionnel ou à un très haut niveau, le sport est une puissante école de vie. Interview de deux grands connaisseurs du monde du sport.

Les vertus véhiculées par le sport sont nombreuses. Certaines vous touchent-elles en particulier ?

Philippe Gonigam Je retiens la logique de paix. Le mouvement sportif est porteur de quelque chose de fantastique dans ce domaine : le 19 juillet prochain, une semaine avant les Jeux, démarrera la trêve olympique. Cette trêve qui existait déjà dans la Grèce Antique a été réintroduite dans les années 1990 et fait aujourd’hui l’objet d’une résolution des Nations-Unies. La guerre en Ukraine a d’ailleurs démarré une semaine après la fin des Jeux d’hiver. Ce mouvement sportif qui réunit l’ensemble des peuples est l’occasion de montrer que l’on est capable, sur un temps donné et sur une décision commune, d’être en situation de paix – même si celle-ci est évidemment relative. On peut transposer cela sur le plan individuel : la paix est toujours le fruit d’une volonté personnelle. Le sport peut ainsi nous encourager à être artisan de paix dans notre famille, dans notre voisinage…

François Morinière Pour moi, la vertu essentielle du sport, c’est le respect des règles. La genèse des Jeux olympiques, qui ont été le creuset du sport, c’est d’avoir permis à des personnes, des équipes et des territoires de s’affronter autrement que par la guerre. Le sport permet la canalisation de cette violence qui existe depuis le début de l’Humanité : tous les coups ne sont plus permis, cette violence est placée dans un cadre, pour que le plus fort soit reconnu et déclaré ainsi. Avant même d’être une vertu éducative, ce respect des règles est d’abord un concept de vie pour l’Homme.

Comment allier esprit de compétition et respect de l’autre, sans tomber dans le mépris pour le plus faible ou le culte du champion ?

P.G. L’adversité existe dès lors qu’on est en compétition. Pour autant, notamment dans des disciplines très techniques ou très fines, l’adversaire devient un « frère exigeant », qui va vous imposer ce chemin qui vous oblige à vous dépasser. Dans ce travail sur soi-même, il devient un miroir. Cela m’impose un respect de cet adversaire : on le combat, mais il n’est pas un ennemi. Dans ma vie personnelle, mon premier adversaire a été mon frère jumeau. J’ai donc vécu cela sur le plan familial en même temps que sportif, mais finalement, même dans une fratrie, on est parfois en situation de concurrence, même avec quelques années d’écart. Cette notion de « frère exigeant » vaut aussi dans le cadre de la famille.

F.M. Cela peut paraître surprenant pour les personnes qui regardent une compétition de voir les sportifs se donner un geste d’amitié ou de fraternité à la fin d’une compétition. En fait, le sportif de haut niveau se connaît parfaitement bien, il est un cristal de très haute précision : il sait très bien ce en quoi il a raté le coche et s’en veut d’abord à lui-même s’il a perdu. Le respect de l’adversaire vient de là. Après, l’éducation à la compétition est d’abord le rôle des parents, premiers éducateurs de leurs enfants. Vient ensuite l’encadrant qui va être le garant pour leur apprendre ces règles. En ce moment, du fait des difficultés que connaissent beaucoup de familles, ceux-ci se retrouvent malheureusement souvent en première ligne dans un rôle d’éducation tout court dans beaucoup de disciplines – je pense au football qui est le premier sport français. Ils le font avec beaucoup d’engagement mais c’est la limite du système.

Le sport est un lieu propice à l’éducation intégrale corps-cœur-esprit. Comment inculquer aux jeunes sportifs cet équilibre, et notamment un rapport ajusté à leur corps ?

P.G. Si on résume l’activité sportive en la limitant aux gestes ou au corps, j’aurais eu une pauvre jeunesse, celle d’un garçon dont l’ambition est de courir plus vite qu’un autre. C’est pourtant cela, le 400 mètres. C’est bien pauvre comme démarche, et encore plus quand on sait l’énergie et le temps que cela demande, et qu’en plus cela fait souffrir. A partir du moment où l’on donne du sens à son engagement dans la compétition, qu’on le positionne bien dans un projet de vie, on est en mesure de mieux sensibiliser aux valeurs, aux vertus et à cet équilibre entre le cœur, le corps et l’esprit.

F.M. La force physique et la musculation font partie du bagage nécessaire pour le sportif, mais elles ne sont pas les seules. Il faut aussi que l’éducateur insiste sur l’adresse, l’agilité, en prenant des exemples : un 400 mètres haies, ce n’est pas qu’une vitesse de pointe, c’est aussi une très grande agilité et de la souplesse. Je crois aussi à l’importance de pratiquer le sport dans une structure collective, même un club de sport : faire de la musculation chez soi toute la journée n’a rien à voir avec le fait d’aller dans une salle avec d’autres, d’échanger, d’avoir un coach qui va nous conseiller tel ou tel exercice. L’échange permet une forme d’ajustement.

Le sport est-il apte à répondre aux défis éducatifs propres à notre époque ?

F.M. Malheureusement, notre modèle éducatif français a longtemps considéré le sport comme la vingtième roue du carrosse, même si des efforts sont faits. On a construit pendant des générations l’éducation des enfants sur des valeurs intellectuelles et non sportives, à l’opposé des modèles anglo-saxon et allemand pour qui l’éducation de la personne reposait sur le binôme corps et esprit. Du coup, c’est important que les parents trouvent les moyens de compléter cette éducation par du sport périscolaire ou en famille.

P.G. Il y a un autre élément qui complexifie les choses, ce sont les écrans. Ils sont pour nous un concurrent, et je pèse mes mots. Face à des jeunes qui sont en situation d’addiction, notre offre sportive doit être formulée de façon très puissante. Quand je parle des écrans, je pense aussi au e-sport qui est une organisation qui compte un nombre de pratiquants inimaginables. Il nous faut donc prendre le taureau par les cornes, bien comprendre la situation actuelle et reformuler une offre plus séduisante de pratiques sportives dans une vocation d’éducation. A nous d’inventer des solutions, de nouveaux patronages, sachant qu’on a bien identifié la problématique, puisque les responsables politiques évoquent eux-mêmes « l’ensauvagement des jeunes ».

Est-il possible d’évoluer sainement dans le milieu du sport de haut niveau, malgré les dérives connues (culte de l’argent, harcèlement, dopage…) ?

P.G. Le constat est en effet terrible : dans le cadre de mon activité syndicale, on a lancé en 2003 un programme de recherche en matière d’évaluation de prévention des risques : sur 400 sportifs professionnels et de haut niveau interrogés, 47 % déclarent avoir été victimes de violences psychologiques, 8 % de violences physiques et 12 % de violences sexuelles. 68 % de ces actes se sont produits en milieu sportif. Comme le sport de haut niveau fait rêver, le sportif s’oublie : il est prêt à tout pour réussir. Tout en encourageant le jeune, il faut donc relativiser, en lui présentant les avantages, les inconvénients et le sens de la pratique. Le sport de haut niveau peut être un chemin très vertueux quand on le pratique avec les bons codes.

F.M. Les aiguillages qui mènent vers un parcours de haut niveau sont extrêmement fins, et le discernement difficile. Le premier écueil étant la désillusion, il faut de la sincérité de la part du système pour éviter les fausses joies futures. Il faut aussi essayer de jauger la force mentale au-delà de la capacité physique, ce qui n’est pas facile à voir.

Les Jeux olympiques sont aussi paralympiques : comment la pratique sportive et le monde du sport peuvent-il transmettre le respect de la différence et l’attention aux plus fragiles ?

F.M. C’est évidemment pour nous chrétiens un sujet très important. Les Jeux paralympiques sont extrêmement importants et porteurs d’espoir pour toutes les personnes handicapées qui verront les Jeux à la télévision, sans compter tout ce qu’ils apportent aux athlètes eux-mêmes. Comme le disait récemment Tony Estanguet [président de Paris 2024, ndlr], ils permettent aussi de reconnaître la capacité de résilience considérable des personnes handicapées, qui sont capables d’arriver à des performances dans des conditions d’entraînement et d’infrastructures beaucoup moins solides et appropriées que celles des valides. Cela demande une capacité énorme pour franchir les étapes, et cela mérite d’être souligné.

P.G. Si on pose le sujet sur le plan de la différence, on va comparer, classer, ranger les capacités. Alors que si on prend un autre terme sportif qui est celui de la mesure des écarts entre les capacités, on se focalise sur une problématique à laquelle on peut répondre. C’est pour cela qu’il y a des catégories. Même dans le sport valide, entre un garçon ou une fille de 10 ans, on voit bien qu’il y a un écart, même dans une même discipline. La question n’est plus de savoir si on accepte ou pas, cela fait partie du jeu, on a un regard très objectif, sans jugement. Il faut qu’on arrive à ça, dans le handisport et dans la vie.

(ARTICLE CNAFC) INSCRIRE SON ENFANT DANS UN CLUB SPORTIF : QUELQUES POINTS DE DISCERNEMENT.

Les parents se soucient-ils assez de la bonne tenue des structures auxquelles ils confient leurs enfants au moment de les inscrire à une activité sportive ?


« On a souvent tendance à donner sa confiance d’emblée, le sport étant par nature une activité saine » remarque Philippe Barbet, inspecteur principal de la Jeunesse et des Sports honoraire et responsable du secteur Éducation à la CNAFC. Pourtant, « même si tout se passe bien dans la plupart des clubs, il serait imprudent de donner un blanc-seing à la structure sans se renseigner un minimum… ».

Sur quels critères s’appuyer ?

Première question à se poser : quel est le statut de la structure ? Est-elle rattachée à une Fédération ? Les éducateurs sont-ils diplômés ? En France, tous les éducateurs sportifs salariés doivent être détenteurs d’un diplôme d’État.

Au-delà de ces questions importantes, l’état d’esprit du club est à questionner : dans quelles conditions l’activité sportive est-elle exercée ? Pratique-t-on la compétition à outrance ? Entretient-on le respect de l’adversaire, le fair-play ? Tient-on compte des remarques des parents ?

Pas plus que les autres institutions, les clubs sportifs n’échappent aux affaires de pression ou de harcèlement : certains clubs de danse poussent leurs élèves à perdre plus de poids, d’autres entretiennent un culte de la réussite au mépris des jeunes moins performants…

« On a même vu des parents s’élever contre d’autres qui voulaient porter plainte contre un entraîneur, de peur que celui-ci ne puisse plus emmener leurs enfants vers la gloire » raconte Philippe Barbet. D’où
l’importance de répéter à ses enfants qu’ils doivent s’exprimer si quelque chose les met mal à l’aise.

Autre point de discernement pour les familles catholiques : le planning des entraînements et des compétitions permet-il la pratique dominicale ?

Enfin, l’activité physique n’étant pas l’apanage des seuls clubs, il est important de veiller aux conditions d’encadrement et de sécurité dans lesquelles elle est pratiquée, dans les aumôneries ou le scoutisme par exemple.

PROCHAINE FORMATION GRANDIR ET AIMER A PARIS. EARS : la formation “Grandir & Aimer” pour les futurs intervenants

EARS : la formation “Grandir & Aimer” pour les futurs intervenants

Pour répondre aux besoins des écoles, des clubs d’enfants ou des groupes de scoutisme ou de patronage, les AFC forment des adultes pour parler de sexualité aux enfants et être capable de répondre à leurs interrogations. L’éducation à l’amour est la première pierre de leur vie affective d’adulte. Dans le cadre d’un projet cohérent et concerté, les établissements peuvent solliciter les AFC ou financer la formation à leurs propres intervenants. Père ou mère de famille, enseignant, catéchiste ou éducateurs peuvent être formés. Il est idéal de se former en binôme pour pouvoir intervenir à deux devant devant les enfants…

Venez vous former à cette mission ! EARS – Formation Grandir & Aimer (afc-france.org)