LE CAFE DES GRANDS-PARENTS DU 7 OCTOBRE 2025 AU 16 JUIN 2026. A LA MAISON FAMILYA DE LYON ET A LA PAROISSE SAINT IRENEE DE LYON.

Être grands parents, quelle joie ! Mais ce n’est pas toujours si simple …

Nous vous proposons 7 rencontres dans l’année.

Ces temps de rencontre ont pour vocation de permettre aux grands parents de venir partager un moment convivial  et chaleureux autour d’un café et  d’échanger, de réfléchir à leur place et leur rôle dans la famille.

C’est un lieu où ils peuvent se dire la joie d’être grands parents, de partager leurs soucis,  leurs  inquiétudes,  leurs souffrances, et d’approfondir leur mission de grands-parents.

Les dates des rencontres 2025-2026

Les mardis de 14h30 à 16h30 à la Maison Familya de Lyon:

  • 07 octobre 2025
  • 18 novembre 2025
  • 16 décembre 2025
  • 20 janvier 2026
  • 24 mars 2026
  • 19 mai 2026
  • 16 juin 2026

https://www.familya-lyon.fr/cafedesgrandparents.html

Ou les jeudis de 20h à 22h à la Maison paroissiale Saint-Irénée, 51 rue des Macchabées, 69005 Lyon.

  • 16 octobre 2025
  • 13 novembre 2025
  • 11 décembre 2025
  • 15 janvier 2026
  • 19 mars 2026
  • 28 mai 2026
  • 25 juin 2026

JOURNEE DIOCESAINE POUR LES VEUFS ET LES VEUVES. SAMEDI 11 OCTOBRE DE 9H30 A 17H.

La journée diocésaine de rentrée du Mouvement Espérance et Vie pour tous les veufs et veuves du diocèse aura lieu le samedi 11 octobre de 9h30 à 17h, avec le thème “Veuvage et estime de soi. Reprendre nos vies en main.”

Intervenante : Constance Pons, responsable de la pastorale de la famille du diocèse de Lyon.

Ouvert à tous les veufs et veuves, même non adhérents au Mouvement.

Renseignements et inscriptions : Mme Josée Barieux, josee.barieux@gmail.com – 06 82 39 89 80

Informations pratiques :

Ecole des religieuses Trinitaires, 13 rue Bony, Lyon 4ème

Le 11 octobre 2025, 9h30 – 17h

« DIMANCHE A NAZARETH » AVEC LA FAMILLE DE SAINT JOSEPH. PROCHAINE DATE DIMANCHE 12 OCTOBRE.

Un temps pour se ressourcer dans la simplicité

Rejoignez-nous pour vivre une journée de paix et de recueillement dans l’esprit de la Sainte Famille de Nazareth. Ces dimanches vous invitent à vous ressourcer dans un climat familial et fraternel, accompagnés par la fraternité monastique qui anime ces rencontres.
Loin du tumulte du quotidien, venez puiser aux sources de la spiritualité chrétienne dans une atmosphère de simplicité et de partage. Chaque moment de cette journée est pensé pour nourrir votre âme et fortifier votre foi, de la célébration eucharistique aux vêpres du soir.

11h00 – Eucharistie
Célébration au cœur de notre rassemblement
12h30 – Pique-nique tiré du sac
Moment de convivialité et de partage fraternel
14h30 – Conférence ou temps d’échange spirituel
Animé par le Père Élie Ayroulet, fsj
16h00 – Goûter
Pause gourmande dans la joie simple
16h30 – Vêpres
Prière du soir en communauté
17h00 – Chapelet
Pour confier nos intentions à Marie

Animation prévue pour les enfants et adolescents

Une boutique monastique est à votre disposition.

(ARTICLE CNAFC) LES ENFANTS, CHAMPIONS DE L’EMERVEILLEMENT.

Dès leur plus jeune âge, les enfants savent s’émerveiller sans que personne ne leur ait appris. Et si les adultes s’inspiraient d’eux ?

Qui n’a pas jamais vu un tout-petit observer avec passion une mouche voler, ou lever brusquement la tête au chant d’un oiseau qu’on n’avait soi-même tout simplement pas entendu ? Pour peu qu’on se mette à leur écoute, les enfants font souvent preuve, aussi, d’une grande franchise devant une œuvre d’art, quand certains adultes peinent à avoir un avis…

L’émerveillement, moteur de leur développement

Rien que de très normal, affirme Marine Denis, psychologue qui exerce auprès d’enfants : « dès leur plus jeune âge, tous les enfants développent une grande curiosité pour ce qu’ils ne connaissent pas : des objets nouveaux, des formes géométriques, des jeux de lumière… » Tout cela s’explique, poursuit-elle en citant Jean Piaget, psychologue qui théorisa les stades de développement de l’enfant : « l’émerveillement est le moteur de leur développement ». Cette attirance pour tout ce qu’ils découvrent les pousse à explorer le monde, et c’est ainsi qu’ils grandissent.

Donner accès à de belles choses

Si l’émerveillement leur est naturel, l’appréciation du beau se fait en grandissant, et dépend de leur environnement culturel, précise Marine Denis : « avant six ans, les goûts d’un enfant se fondent sur des critères simples. Peu à peu, il devient capable de conscientiser son appréciation, et ce, d’autant plus si son entourage lui donne accès à de belles choses et l’aide à exprimer ce qu’il ressent. A l’adolescence, son goût va encore se forger, mais cette fois-ci plutôt en référence aux médias, aux réseaux sociaux ou à son environnement social ».

Cultiver l’instant présent

Pour retrouver ce rapport évident à la beauté qu’ils ont connu, les adultes gagneraient à s’inspirer de cette capacité naturelle des enfants à « cultiver l’instant présent » et à « chercher ce qu’il y a de beau en toutes choses », propose la psychologue. Ou encore de développer leur curiosité : « par exemple en recherchant d’autres livres d’un auteur qu’on a aimé, ou en faisant des recherches sur une œuvre qui nous plaît ».

Sophie Le Pivain

(ARTICLE CNAFC) CHOISIR SES ENGAGEMENTS POUR NE PAS S’OUBLIER.

En ce début d’année scolaire, Clotilde Merza, conseillère conjugale et familiale, conseille de discerner avant de choisir ses engagements pour l’année et livre son plaidoyer contre le burn-out parental.

On commence l’année pleins d’élan : motivés, organisés, impliqués. On accepte un projet professionnel, deux engagements associatifs, trois réunions d’école… et on oublie de bloquer une soirée pour souffler. On dit oui à tout ce qui est « important ». Résultat ? On court, on gère, on coche. Et un jour, on réalise qu’on ne s’est pas vraiment parlé depuis quinze jours.

Le burn-out parental n’a l’air de rien. Il ressemble à une maman souriante, à un papa volontaire… qui n’en peut plus sans l’avouer. Alors on freine. Pas pour abandonner. Pour reprendre la main. Et pour réapprendre à dire oui… mais pas à n’importe quoi.

Les questions à se poser

Voici trois questions simples mais efficaces pour faire le tri :

– Où est-ce que j’en suis concrètement ? Avec un bébé, un ado en crise, une charge mentale professionnelle ou un parent malade… on ne peut pas tout porter en même temps.

– Qu’est-ce qui me nourrit vraiment ? Et qu’est-ce qui me prend toute mon énergie ?

– Et nous deux, dans tout ça ? Avons-nous encore du temps de qualité ? Ou seulement des créneaux dans un agenda ?

Prendre soin de son couple

Un couple ne s’entretient pas « quand on aura le temps ». On en prend soin maintenant, dans les choix du quotidien. Et si je dis non ? Rien de grave. Le monde ne s’écroule pas. Mais peut-être que quelque chose de plus précieux se relève : moi. Nous. L’essentiel.

Dire non à un engagement, c’est parfois ouvrir un espace pour que d’autres prennent le relais. C’est aussi montrer à nos enfants que les limites sont une force. Alors, cette année, on ne fera peut-être pas plus. Mais mieux. Avec plus de joie. Plus d’ancrage. Et plus de nous.

Clotilde Merza, conseillère conjugale et familiale