DECOUVREZ OU REDECOUVREZ LES WEBSERIES – LE COURS DE LA VIE 2 – Hugo et Lucie.

A la suite de la première série, « Lucas et Léa, le cours de la vie », destinée aux parents et à leurs enfants de 7 à 11 ans, les AFC ont travaillé à l’élaboration d’une deuxième web-série à destination des 12-15 ans.

L’objectif de cette web-série est d’inciter au dialogue parents-adolescents, faire réfléchir les ados et aider les parents à mieux comprendre leurs enfants durant cette période délicate.

Sans prétendre à l’exhaustivité, la web-série traite avec humour des ressorts profonds de cette tranche d’âge, de la révolution affective qui accompagne les changements pubertaires et de ce que les adolescents éprouvent, parfois douloureusement : la solitude, le rôle de la bande, la curiosité, le besoin de se comprendre et de comprendre l’autre, le désir d’autonomie, la quête d’un idéal…

Les thèmes sont traités par 2 youtubeurs, Hugo et Lucie, en 7 vidéos.

Elles ont été conçues par des éducateurs à la vie, conseillère conjugale et familiale, technicien d’intervention sociale et familiale et médecin des Associations Familiales Catholiques et avec la participation du CLER Amour et Famille et de TeenSTAR.
Comme l’année dernière, un groupe d’étudiant de l’IRCOM a apporté son savoir-faire dans la réalisation des vidéos.

BANDE-ANNONCE : Hugo et Lucie, le cours de la vie 2 (youtube.com)

DECOUVREZ OU REDECOUVREZ LES WEBSERIES – LE COURS DE LA VIE 1 – LUCAS ET LEA.

Lucas et Léa, le cours de la vie est une web-série pédagogique EARS (éducation affective, relationnelle et sexuelle) de 7 courtes vidéos en accès libre sur internet, destinée aux enfants de 8 à 11 ans et à leurs parents.

Dans l’esprit des « cours en ligne », ces vidéos cherchent à répondre aux questions des enfants sur tous les thèmes qui touchent à la transmission de la vie, à l’amour, à la puberté et à la sexualité. Les parents y trouveront les mots du dialogue et de l’accompagnement de leurs enfants.

Les 7 thèmes sont traités sous forme de vidéos vivantes et humoristiques au sein d’une famille avec Papa, Maman, Léa et Lucas.

Elles sont en ligne sur la chaîne Youtube « Le cours de la vie ».

Elles ont été conçues par des éducateurs à la vie, conseillère conjugale et familiale, technicien d’intervention sociale et familiale et médecin des Associations Familiales Catholiques et avec la participation du CLER Amour et Famille.

COMMUNIQUE DE PRESSE DU 11 mars 2024: Les AFC s’opposeront par tous les moyens à l’aide à mourir annoncée par Emmanuel Macron.

Le président de la République a donné dimanche 10 mars, dans une interview à La Croix et à Libération, les contours du projet de loi « fin de vie » qui devrait être présenté dans peu de temps en Conseil des ministres.


Ce projet ouvre à la fois le suicide assisté et l’euthanasie pour des malades en fin de vie à court ou moyen terme, conscients et atteints de souffrances physiques ou psychiques réfractaires. L’administration de la mort est appelée « aide à mourir ». La décision serait prise par une équipe médicale à la demande du patient. Les soins palliatifs seraient renforcés et présentés fin mars dans une « stratégie décennale ».


Les Associations Familiales Catholiques constatent que toutes les propositions et les mises en garde des soignants de soins palliatifs sont restées lettre morte. Les professionnels de ce secteur, qui accompagnent au quotidien des dizaines de milliers de malades avec une connaissance fine des besoins et des attentes des patients en fin de vie, n’ont pas été écoutés.
Elles sont alarmées par le détournement du sens des mots : « loi de fraternité » pour mettre fin à la vie des grands malades et « aide à mourir » au lieu d’euthanasie et de suicide assisté alors que le président affirme que cette loi ne contient ni euthanasie, ni suicide assisté. Mais aussi l’emploi de l’expression « être accompagné » en lieu et place « d’être euthanasié ». Où est la fraternité alors que le système de santé et l’hôpital sont en crise
profonde ? Ils peinent à remplir leurs missions.

Les Français affirment, pour 51% d’entre eux, « avoir un accès « compliqué, long ou partiel » aux services de soins. Un Français sur 10 dit n’avoir accès à aucun médecin. (Sondage Elabe pour Les Echos, janvier 2023). Comment ne pas imaginer qu’il sera plus, simple, plus rapide et moins onéreux de recourir à la mort plutôt qu’aux soins jusqu’au bout ?


Les AFC sont particulièrement indignées de la possibilité, décrite par Emmanuel Macron, que le médicament létal puisse être administré par un proche de la personne malade. C’est introduire au sein même de la famille des conflits irréconciliables entre ceux des proches qui auront voulu accélérer la mort et ceux qui s’y seront opposés. Combien de souffrances cette loi apportera-t-elle aux familles déjà éprouvées par le décès ? Comment peut-on avoir imaginé une telle disposition autorisant les Français à se suicider les uns les autres ?


Un « cadre strict » serait proposé pour « ouvrir un possible », alors que nul ne peut ignorer que tous les cadres stricts inscrits dans la loi sont amenés à voler en éclat au fil du temps. (Voir le film « Les souffrances cachées de l‘euthanasie » disponible sur Youtube.)


On ne bafoue pas impunément la conscience d’une partie importante de la population sans entrainer des clivages et des oppositions majeurs particulièrement délétères alors que la société française est déjà sous forte tension.


Les Associations Familiales Catholiques appellent à une prise de conscience des enjeux liés à ce projet de loi, en particulier en regardant les dérives des pays qui y ont déjà recours, et à développer un modèle français fondé sur les soins palliatifs qui sont la seule vraie réponse aux souffrances en fin de vie.


Par ce Communiqué de Presse les AFC annoncent qu’elles s’opposeront par
tous les moyens possibles aux dérives annoncées.

Communique-de-Presse-Les-AFC-sopposent-a-laide-a-mourir.pdf (afc-france.org)

PARTAGER ET DIFFUSER LE FILM: LES SOUFFRANCES CACHEES DE L’EUTHANASIE.

Documentaire – Les souffrances cachées de l’euthanasie (youtube.com)

Dans le contexte du débat sur l’aide active à mourir, les AFC présentent un
documentaire tourné en Belgique avec la participation de professionnels de
santé qui vivent directement les conséquences de la loi sur l’euthanasie
votée en 2002.


Que trouve-t-on dans le documentaire ?
Il a été conçu comme un recueil de témoignages de soignants confrontés à
l’euthanasie et à ses conséquences depuis plusieurs années. Les personnes
interrogées dans le documentaire sont :

Le professeur Timothy Devos, hématologue, référent des soins
palliatifs,

Le Dr An Haekens, psychiatre pour personnes âgées,

Éric Vermeer, infirmier en soins palliatifs, psychothérapeute et éthicien

François Truffin, infirmier en soins palliatifs,
ainsi que Jean-Paul Van de Walle, conseiller juridique.

Quel est l’objectif de ce documentaire ?
La volonté du réalisateur est de faire parler, sans tabou, des soignants et
experts aux charismes divers dans un pays qui a légalisé l’euthanasie il y a vingt
ans. Les expériences vécues renvoient aux questions de liberté de la personne
et de la dignité, mais dévoilent aussi les conséquences moins connues de
l’euthanasie : celles des souffrances collatérales qui continuent chez les
proches comme chez les tiers soignants…


« Le recul sur la loi en Belgique permet de se rendre compte d’une chose
effroyable, c’est que l’euthanasie ne supprime pas les souffrances, mais les
déplace sur les proches et les soignants. » – Benoît Hautier.