ALMA, une association au service de l’éducation et de l’accompagnement des jeunes filles.

Alma est une association au service de l’éducation et de l’accompagnement des jeunes filles (14-16 ans) par des jeunes femmes, via des sessions de 3 week-ends.


Les jeunes filles y abordent avec leurs animatrices des questions d’identité et d’estime de soi au travers de moyens pédagogiques concrets, joyeux et variés (ateliers, vie fraternelle,
enseignements, vie de prière). Le but que l’association se donne est ainsi de permettre à chaque jeune femme d’incarner fièrement ce qu’elle est pour rayonner dans le monde qui l’entoure !
Fondées sur un enseignement solide issu de la doctrine sociale de l’Eglise, ces sessions ont été pensées pour des adolescentes, dans un cadre convivial et serein, jeune et pétillant, pour les associer pleinement à notre proposition à chaque étape.


Alma propose cette année des sessions à Paris, Nantes et Lyon (Bourgoin-Jallieu et
Bourg-en-Bresse).


Le projet vous intéresse? Vous souhaitez inscrire une jeune fille? Plus d’infos sur notre site
internet: www.associationalma.fr ou par contact.alma.asso@gmail.com .

LA MAISON DE LOUISE RECHERCHE DES SOUTIENS FINANCIERS

La Maison de Louise a été créée il y a 10 ans en 2013 : cette association a pour vocation d’accueillir des jeunes femmes enceintes en grande précarité et/ou difficulté familiale. Elle a vu le jour dans la continuité de l’association Pour la vie en offrant un solution concrète à des mamans dont la grossesse arrive dans un contexte difficile et après un triste constat : en France il y a des jeunes femmes enceintes à la rue  pour preuve ce reportage (datant de 2005) sur une femme enceinte vivant sous le Pont de l’Université à Lyon.

Le Maison de Louise peut  accueillir  dans un  appartement jusqu’à quatre futures mamans. Celles ci sont hébergées  quelque soit le stade de la grossesse et jusqu’au 3 mois de leur bébé.L ‘association fonctionne grâce à une maîtresse de maison salariée qui gère l’intendance, le suivi des mamans, l’aide pour les démarches médicales, administratives etc, secondée par des bénévoles qui viennent à tour de rôle déjeuner avec les mamans ou passer un  moment  l’après midi.

Les mamans accueillies ont des profils variés : certaines sont en rupture avec leur entourage suite à leur grossesse, d’autres à la rue suite à des problèmes familiaux ou conjugaux/ professionnels…, quelques unes ont un emploi et un salaire ou poursuivent leurs études …

L’association a pour but d’apporter un toit et un soutien à ces futures mamans fragilisées par la vie, en leur apportant apaisement et sérénité afin que le bébé aussi trouve un réel réconfort pendant ces mois si précieux du début de sa vie. A ce jour nous avons permis à plus de 50 bébés de naître dans un environnement accueillant et bienveillant ce qui est primordial pour eux.

L’équipe de bénévoles bénéficient tous les deux mois d’une supervision avec une psychologue afin de trouver des éléments de réponse face aux cas difficiles rencontrés.

La Maison de Louise ne fonctionne qu’avec des dons (paroisses, particuliers …), la période du Covid a vu baisser de façon très importante le nombre de dons et l’inflation actuelle grève lourdement nos dépenses, c’est pourquoi nous avons besoin urgemment de soutien financier pour que perdure notre belle action….

Si vous désirez nous soutenir, vous pouvez le faire directement :

sur notre site internet : www. maisondelouise.com

par chèque à l’ordre de : Maison de Louise, 2 Allée Préfleury 69 290 Saint Genis Les Ollières

 En novembre via le lien : https://www.credofunding.fr/fr/maison-de-louise

Nous vous remercions de votre générosité, vous pouvez aussi apporter votre aide en devenant bénévole.

Contact : Maison de Louise : 06 87 52 48 12 / 07 67 67 32 86 / maisondelouise@gmail.com

Accueil – La maison de Louise

Articles de la CNAFC: Fausses promotions : les repérer

À la suite de la directive européenne dite Omnibus, de nouvelles règles ont été transposées en droit français concernant les réductions de prix.

À la suite de la directive européenne dite Omnibus, de nouvelles règles ont été transposées en droit français par l’ordonnance n° 2021-1734 du 22 décembre 2021[1]. L’une de ces règles vise les réductions de prix faites aux consommateurs. Il s’agit de lutter contre les fausses promotions.

Ainsi, depuis le 28 mai 2022, le prix de référence , ou prix antérieur, est le prix le plus bas pratiqué par le professionnel à l’égard de tous les consommateurs au cours des trente derniers jours précédant l’application de la première réduction de prix.[2]. Auparavant, le professionnel avait une grande liberté pour définir le prix de référence. Quelques cas particuliers sont néanmoins prévus dans cette réglementation.

Dans le cas de réductions de prix successives dans les 30 jours précédant, le prix de référence doit être ajusté à la baisse en tenant compte des réductions effectuées. Une dérogation vise le cas des produits périssables « susceptibles d’une altération rapide ». Le code de la consommation contient aussi une disposition pour les professionnels prévoyant de pratiquer des comparaisons de prix qui ne doivent pas être présentées comme des annonces de réduction de prix. [3]

Comme le précise la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) « cette règle (du prix le plus bas pratiqué dans les 30 derniers jours) ne s’applique pas lorsque le professionnel compare le prix qu’il affiche avec des prix pratiqués par d’autres professionnels. Dans ce cas, le consommateur doit alors être clairement informé qu’il s’agit d’une comparaison de prix et non d’une réduction, ainsi que de la nature de ce prix de comparaison (prix conseillé fabricant, prix habituellement constaté chez les concurrents, etc.) ». Cela ne va pas manquer de créer des problèmes d’interprétation pour bien distinguer les comparaisons de prix et les annonces de réduction de prix.

Cette réglementation sur les annonces de réductions de prix s’applique tant aux promotions en cours d’année (« Black Friday » , « Cyber Monday » ou autres dénominations) qu’aux périodes de soldes.

[1] legifrance.gouv.fr

[2] Article L. 112-1-1- I du code de la consommation

[3] Article L 122-1-1 -II id.code

Visite au sommet !

Les AFC ont été reçues mardi 17 octobre à l’Élysée par Patrick Strzoda, directeur de cabinet d’Emmanuel Macron, et Sarah Sauneron, conseillère solidarités, égalité femmes/hommes, lutte contre les discriminations, pour se faire entendre sur les questions de natalité et de fin de vie.

Il était important de faire prendre conscience à l’Exécutif que l’ampleur de l’effondrement de la natalité est consécutif à la déconstruction de la politique familiale. Si de 2012 à 2022 la France a perdu 100 000 naissances annuelles, elle s’apprête à en perdre quelques 50 000 entre 2022 et 2023. Les coups de boutoir successifs contre la politique familiale conjugués à la crise économique et la crise des modes de garde expliquent cette chute inédite. C’est cette réalité qu’illustre parfaitement l’étude réalisée par l’IFOP en juillet dernier à la demande des AFC : 50 % des personnes qui ont renoncé à avoir un premier enfant ou un enfant de plus, en auraient eu un si elles avaient pu prendre un congé parental.

Ce rendez-vous a été l’occasion de revenir sur le projet de loi relatif à la fin de vie qui se dessine pour la fin de l’année. S’il devait y avoir une loi, les AFC ont exprimé fortement l’importance de séparer les textes, l’un devant traiter des soins palliatifs et l’autre de la fin de vie. Ceci afin de ne pas prendre en otage la liberté de conscience des parlementaires.