POSTCASTS: VIVRE PLUS SAINTEMENT LE QUOTIDIEN EN FAMILLE.

Dès le 30 décembre, 2 fois par semaine
Hozana un court audio sur un thème concret  :

 – Se rendre service en famille

 – Les langages d’amour en famille

 – Être couple ET parents

 – Les joies en famille

 – Se supporter en famille

 – La prière en famille…  et bien d’autres encore

Vivre plus saintement le quotidien en famille – Hozana

Une nouvelle année sous le signe de l’avortement ?

Un projet de loi constitutionnelle pour inscrire l’avortement dans la Constitution est présenté aujourd’hui au conseil des ministres.

La phrase suivante serait ajoutée à notre constitution : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. »

Cette liberté formulée sans limite dans la constitution pourrait contribuer à faire glisser sans cesse les conditions d’accès à l’IVG, en particulier la clause de conscience des soignants et les délais d’accès.

La clause de conscience des soignants était une condition du vote de la loi Veil, en 1975. Elle s’applique à tous les soignants, pas seulement aux médecins. Pour les promoteurs de l’avortement, l’objection de conscience est le principal obstacle actuel. L’IVG, en étant inscrite dans la Constitution, deviendrait une liberté fondamentale. Elle mènerait à la fin de la liberté de conscience des soignants qui ne pourraient pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme. Les délais d’accès pourraient, eux, à nouveau glisser au fallacieux prétexte des difficultés d’accès à l’IVG.

Les choses pourraient aller très rapidement. Le projet de loi constitutionnelle arriverait en discussion au Parlement début 2024 et, s’il était voté à l’identique par les deux Chambres, pourrait être ratifié par le Congrès début mars.

Que faire ?

La Marche pour la vie aura lieu le 21 janvier : nous vous invitons à y participer très nombreux.

D’ici là, nous vous proposons une mobilisation virtuelle sous la forme d’un micro-trottoir digital en répondant à la simple question : « Que pensez-vous de l’inscription de l’avortement dans la constitution ? ». Pour participer scanner le QR code ci-dessous.

Soyons nombreux à donner notre avis et notre témoignage. Nos retours seront très précieux pour répondre avec conscience et vigueur à la publication de ce projet de loi !

Pascale Morinière, Présidente de la Confédération Nationale des AFC.

Comment participer ?

Pour utiliser cet outil, suivez les instructions en scannant le QR Code ci-dessus.

Une fois le QR Code scanné, vous serez redirigé vers l’application.

La question s’affichera alors : « L’inscription de l’avortement dans la Constitution est-elle une erreur ? ».

  • Pour donner votre réponse, cliquez sur « Participez ».
  • L’application vous demandera de débloquer la caméra et le micro. Débloquez-les et passer à l’étape suivante.
  • Dans l’écran suivant, dès que vous êtes prêts, cliquez sur « Démarrer » et vous aurez 30 secondes pour parler.
  • Vous avez ensuite la possibilité de recommencer si votre prestation ne vous a pas plu.
  • Pour passer à l’étape suivante, validez votre vidéo.
  • Entrez ensuite votre email, un pseudo et votre code postal.
  • Cochez les Conditions Générales d’Utilisations puis validez.

Votre vidéo sera traitée et ensuite diffusée sur les réseaux sociaux et lors de la Marche pour la Vie, le 21 janvier 2024.

Merci pour votre engagement !

ARTICLE DE LA CNAFC: « EXERCER SON AUTORITE »

L’autorité est le cadre nécessaire et sécurisant de toute éducation. Mais comment en faire bon usage ?

« Le cadre sécurisant dont a besoin l’enfant pour s’épanouir, explorer et grandir passe par l’existence d’une autorité », affirme le dr Anne Raynaud, psychiatre. L’autorité serait donc la clé pour éduquer son enfant. Mais qu’est-ce que l’autorité ?

Faire croître

L’autorité vient du latin auctoritas, du verbe augere, qui veut dire : faire croître. oui, nous les parents avons ce souci de faire grandir notre enfant. l’autorité parentale est partagée par le père et la mère. L’exercice du dialogue et l’accord du père et de la mère contribuent à l’équilibre de l’enfant. L’autorité implique des règles claires et précises, en un mot un cadre bien défini. Elle allie la bienveillance et la fermeté. Cette fermeté bienveillante sécurise notre enfant. L’autorité implique une écoute attentive de notre part. L’autorité doit s’exercer avec sagesse et pondération et non sous l’emprise de la colère ou d’émotions de toutes sortes. Ne craignons pas de dire et redire « non » à notre enfant ou à notre adolescent, mais de façon plus nuancée.

Ceci l’empêche de goûter à une liberté illusoire qui ne le construit aucunement et l’empêche de se confronter à la réalité. Ainsi, l’enfant grandissant prend de plus en plus confiance en lui et trouve la joie de vivre ! Il est plus fort pour ne pas succomber au relativisme ambiant et encore moins aux « idées noires », voire aux addictions, et peut ainsi commencer à exercer sa liberté.

Cohérence entre éducateurs

Nous, parents, sommes les premiers éducateurs de nos enfants : l’autorité que nous exerçons s’applique à tous les champs de la vie de l’enfant : à ses relations, à ses activités, et aussi aux éléments spirituels et religieux de la transmission pour son bien et pour son avenir social. Elle est naturelle et légitime. Cette autorité est cependant limitée, et s’articule peu à peu avec d’autres lorsque l’enfant grandit : école, mouvements, associations. L’idéal est de rechercher la cohérence de toutes ces instances : celle-ci devient alors une véritable colonne vertébrale pour le jeune qui apprend à se maîtriser, à exercer sa volonté, son altruisme et à développer ses talents.

Non, l’autorité n’est point un abus de pouvoir ni une tyrannie. elle est avant tout un service pour le bien commun. Les parents chrétiens le savent, eux qui lisent dans la Parole de dieu que « toute autorité vient de dieu » (Rom, 13, 1).

PROJET STRATEGIQUE DES AFC 2024-2028

Ce projet stratégique est le résultat de la démarche « Vision des AFC » menée avec
Philippe Royer et le cabinet Caïros. Ce travail de réflexion a associé de nombreuses
parties prenantes : membres du Conseil d’administration et du Bureau de
la CNAFC, présidents et responsables d’AFC et de fédérations, adhérents,
permanents et partenaires. Son but était de rappeler la raison d’être de notre
mouvement familial et de nous fixer des axes concrets de développement pour
les cinq prochaines années avec des objectifs chiffrés réalistes et significatifs de
notre ambition commune