CAMPAGNE DE DONS POUR LE FINANCEMENT DES LIVRETS DES MOUVEMENTS VIE !

Nous avons le plaisir de vous transmettre le livret 2025/2026 des mouvements Vie du Rhône. Ce livret, d’une grande qualité, est diffusé gratuitement à 4.000 exemplaires dans les paroisses, auprès des membres des associations, et relayé largement sur les réseaux sociaux.

Cette gratuité est un choix fort, pour valoriser votre engagement sans vous imposer de frais. Mais elle représente un coût réel. Pour en assurer le financement, nous avons lancé une campagne de dons via Credo Funding.

Votre soutien est essentiel pour que cette initiative perdure. Nous vous serions très reconnaissants de relayer cette campagne auprès de vos membres, vos proches, vos amis — chaque partage compte !

👉 Soutenir le livret sur Credo Funding https://www.credofunding.fr/fr/livret-reseau-vie-2025

COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA CNAFC (6/10/2025) : POUR LA PROTECTION DES CONSOMMATEURS.

Les AFC s’alarment de l’annonce de la probable suppression de l’Institut national de la consommation (INC), organisme public essentiel au service des consommateurs depuis plus de 50 ans.

La CNAFC, association familiale de consommateurs, s’alarme de l’annonce de la probable suppression de l’Institut national de la consommation (INC), organisme public essentiel au service des consommateurs depuis plus de 50 ans.

Le 15 mai dernier, lors de son audition devant la commission sénatoriale sur les agences de l’État, la ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a déclaré que l’INC serait supprimé car, selon elle, « ses missions sont échues ». Une déclaration qui soulève de vives inquiétudes et qui, pour nous, ne peut rester sans réponse.

L’INC n’est pas un organisme dépassé. Il est un pilier de l’information indépendante, un soutien indispensable pour les associations de consommateurs, notamment quant à la formation, et un acteur clé de l’éducation à la consommation. Grâce à des outils comme le magazine 60 Millions de consommateurs ou l’émission Consomag, l’INC joue un rôle unique pour décrypter les offres, alerter sur les pratiques abusives et aider chacun à faire des choix éclairés.

Dans un contexte de complexification croissante des marchés (énergie, assurances, télécoms, immobilier…), d’inflation, de scandales sanitaires, de désinformation en ligne et de vulnérabilités sociales accrues, la disparition d’un acteur public indépendant comme l’INC serait une grave erreur.

Nous considérons que supprimer l’INC, c’est affaiblir la protection des consommateurs, priver les familles d’un appui précieux, et nier les enjeux d’intérêt général portés par cet institut. Ce n’est pas seulement une question de budget : c’est une question de justice, de transparence et de démocratie économique.

Nous demandons le maintien et la consolidation des missions de l’INC, au service de tous les citoyens.

non à la supression de l’INC

LA FRATRIE, UN MODELE D’INCLUSION.(article CNAFC)

En côtoyant la différence dès leur plus jeune âge, et avec beaucoup de naturel, les frères et sœurs d’enfants porteurs de handicaps ont beaucoup à apprendre à notre société en matière d’inclusion.

Aujourd’hui, on parle beaucoup de l’inclusion des personnes porteuses de handicaps, cela est positif. Parfois pourtant, cette inclusion semble contenir implicitement l’injonction à être « comme les autres ». Alors, penchons-nous sur cette « inclusion naturelle » pratiquée dans les fratries, pour voir comment elle s’y vit.

Tant que les enfants sont assez jeunes, tout se fait de manière très naturelle. Parler de handicap est incongru. Avec l’âge et les regards extérieurs, la prise de conscience vient peu à peu. Les écarts se creusent quand le plus petit « passe devant », et acquiert des compétences que n’a pas son aîné. Ce sont des moments qui paraissent douloureux, mais qui permettent à chacun d’avancer dans l’acceptation du handicap, de grandir. Cela requiert d’en parler librement et aussi souvent que possible.

La famille est une bonne école pour apprendre à vivre ensemble et à prendre soin les uns des autres. Le handicap agit comme booster. Il crée une solidarité particulière au sein de la fratrie et dans la relation avec les parents. Les enfants voient leurs parents souffrir et se réjouir, ils les voient démunis, ils les voient se battre pour relever ce défi éducatif particulier et constatent qu’ils ne savent pas toujours s’ils font les bons choix. Par la vie avec le handicap, accepter, aimer l’autre dans sa différence leur est bien souvent plus naturel.

Pour autant, ils souffrent par moment de la différence de traitement qui peut être perçue comme une injustice ou une inégalité. Car le handicap prend parfois beaucoup de place et de l’attention des parents.

À l’extérieur, par contre, les enfants qui vivent avec un frère ou une sœur différents sont les premiers à s’indigner du moindre regard ou de la moindre parole d’exclusion ou de jugement sur le handicap.

En somme, l’inclusion d’un enfant porteur de handicaps dans une fratrie ne se décrète pas : elle se vit, au jour le jour, dans la richesse des liens, les ajustements constants et les émotions partagées. Elle n’est ni parfaite ni facile, mais elle simplement humaine. Elle façonne les frères et sœurs, les rend souvent plus attentifs à l’autre, plus tolérants, plus conscients des fragilités de chacun. À condition de leur offrir un espace pour s’exprimer, de reconnaître leurs besoins spécifiques, et de leur dire qu’ils comptent tout autant, cette expérience peut être fondatrice. Car vivre avec la différence au cœur même de sa famille, c’est peut-être apprendre très tôt à aimer sans condition et en inclusion.

Claire Gilles

Les « Chantiers atypiques »

Anciennement appelés « Chantiers zèbres », il en en existe dans de nombreuses régions. Les Chantiers atypiques accueillent des parents dont les enfants sont HPI ou TDAH principalement. Ces parents éprouvent le besoin de se retrouver pour échanger sur leurs enfants qui ont un fonctionnement atypique.