LE CAFE DES GRANDS-PARENTS DU 7 OCTOBRE 2025 AU 16 JUIN 2026. A LA MAISON FAMILYA DE LYON ET A LA PAROISSE SAINT IRENEE DE LYON. (EN LIEN AVEC LA PASTORALE DES FAMILLES DU DIOCESE DE LYON).

Être grands parents, quelle joie ! Mais ce n’est pas toujours si simple …

Nous vous proposons 7 rencontres dans l’année, les mardis de 14h30 à 16h30.

Ces temps de rencontre ont pour vocation de permettre aux grands parents de venir partager un moment convivial  et chaleureux autour d’un café et  d’échanger, de réfléchir à leur place et leur rôle dans la famille.

C’est un lieu où ils peuvent se dire la joie d’être grands parents, de partager leurs soucis,  leurs  inquiétudes,  leurs souffrances, et d’approfondir leur mission de grands-parents.

tre grands parents, quelle joie ! Mais ce n’est pas toujours si simple …

Nous vous proposons 7 rencontres dans l’année.

Ces temps de rencontre ont pour vocation de permettre aux grands parents de venir partager un moment convivial  et chaleureux autour d’un café et  d’échanger, de réfléchir à leur place et leur rôle dans la famille.

C’est un lieu où ils peuvent se dire la joie d’être grands parents, de partager leurs soucis,  leurs  inquiétudes,  leurs souffrances, et d’approfondir leur mission de grands-parents.

Les dates des rencontres 2025-2026

Les mardis de 14h30 à 16h30 à la Maison Familya de Lyon:

  • 07 octobre 2025
  • 18 novembre 2025
  • 16 décembre 2025
  • 20 janvier 2026
  • 24 mars 2026
  • 19 mai 2026
  • 16 juin 2026

https://www.familya-lyon.fr/cafedesgrandparents.html

Ou les jeudis de 20h à 22h à la Maison paroissiale Saint-Irénée, 51 rue des Macchabées, 69005 Lyon.

  • 16 octobre 2025
  • 13 novembre 2025
  • 11 décembre 2025
  • 15 janvier 2026
  • 19 mars 2026
  • 28 mai 2026
  • 25 juin 2026

ATELIERS A VIVRE ENTRE MERE/FILLE ET PERE/FILS. (DATES ET INFORMATIONS POUR 2025/2026).

Des ateliers pour parler vie affective et sexuelle avec son enfant !

Respecter et valoriser son propre corps a une grande répercussion sur l’image qu’une jeune fille a d’elle-même et sur sa confiance en elleS’accepter femme et vivre positivement les changements de la puberté est un enjeu décisif de son développement, c’est là le défi que relève l’atelier sous la forme d’une mise en scène vivante, ludique du déroulement du cycle.

Une “ Scène ” de tissus de 4m x 3m, un matériel riche et poétique permettent d’aborder ce sujet encore trop souvent tabou. Sans demi-mots, dans le respect de l’âge des participantes, les jeunes filles découvrent les merveilles de leur corps dans un échange permanent entre elles, l’animatrice et leur maman. Les changements et les rythmes de la puberté pourront alors être attendus et vécus sereinement.

DATES ET INFORMATIONS : https://www.familya-lyon.fr/cyclo-show.html

Atelier Père-Fils (11-14ans) Mission XY

Des ateliers pour parler vie affective et sexuelle avec son enfant !

L’atelier Mission XY permet aux garçons d’acquérir des connaissances pour aborder avec sérénité les changements du corps à la puberté.

Une journée pour comprendre et savoir

  • Les merveilles du corps
  • Ses changements à la puberté
  • L’anatomie masculine et féminine
  • La conception d’un enfant jusqu’à sa naissance

Un jeu de piste, des ateliers thématiques et la grande expédition de la vie (représentation imagée du parcours des spermatozoïdes à la rencontre de l’ovule) émailleront cette journée à vivre en duo, le garçon avec son papa, son oncle ou son parrain.

Une approche originale !

DATES ET INFORMATIONS :https://www.familya-lyon.fr/mission-xy-evolution.html

(ARTICLE CNAFC) AVORTEMENT : DES CHIFFRES ENCORE EN HAUSSE.

Une nouvelle étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) informe que le nombre d’avortements en 2024 s’élève à 251 270, soit 7 000 de plus qu’en 2023. Comment analyser ces chiffres ?

La France connaît un paradoxe : en 2024 le désir d’enfant des Français (2,27 enfants par femme) est bien plus élevé que sa réalisation effective (1,62 enfant par femme). La même année les IVG ont augmenté de 3% par rapport à 2023. En parallèle, la natalité continue de s’effriter avec une baisse de 17% des naissances. La solidarité intergénérationnelle, qui constitue la base de notre système social, est donc fragilisée.

Pourquoi un tel taux d’avortement ?

Quels sont les facteurs de ces constats qui prolonge la France dans un « hiver démographique » et la menace d’un non-renouvellement de sa population ?

Dans un article publié par Le Figaro, Pascale Morinière, présidente de la Confédération nationale des AFC (CNAFC), souligne que la « baisse du pouvoir d’achat des familles et le contexte de crise actuel diminuent la capacité à accueillir des enfants ». En moyenne les Français ont le sentiment qu’il leur manque 507 euros par mois pour vivre normalement et seulement 18% d’entre eux estiment avoir un pouvoir d’achat élevé. En comparaison, l’Allemagne pratique deux fois moins d’avortements que la France et gagne 7 000 euros de plus par an et par personne.

L’étude publiée par la Drees montre également une augmentation du taux de recours de 2,3 points depuis 2021. À l’exception des moins de 20 ans et des mineurs, toutes les tranches d’âge sont concernées par cette augmentation.  On constate également une modification de la pratique des IVG qui sont désormais à 80% médicamenteuses.

Les propositions des AFC

En 1974, lors de son discours pour la légalisation de l’avortement, la ministre de la Santé Simone Veil, déclarait : « l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. […] aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. »

Dans un communiqué de presse, la CNAFC soutient la lutte contre les facteurs de risque de recourir à l’avortement en cas de grossesse imprévue. Les deux principaux facteurs sont la pauvreté et la déscolarisation. Particulièrement touchés, les départements et régions d’outre-mer, dont Mayotte, comptent 16 370 IVG en 2024.

Afin de répondre aux inquiétudes des mères et de leurs familles, il est essentiel de mettre en place des aides matérielles et financières. La CNAFC soutient la valorisation de l’accouchement sous le secret. Les AFC prônent une vraie politique familiale ambitieuse et pérenne, afin de rendre la liberté aux Français d’avoir le nombre d’enfants qu’ils désirent.

Avortement : des chiffres encore en hausse

(ARTICLE CNAFC) CONTRATS OBSEQUES : APPEL A TEMOIGNAGE.

Les AFC se joignent à d’autres associations pour lancer un appel à témoignages concernant les contrats obsèques, en particulier ceux à cotisation viagère ou temporaire.

L’Unaf (Union nationale des familles) et l’UFC-Que Choisir viennent de lancer un appel à témoignages concernant les contrats obsèques, en particulier ceux à cotisation viagère ou temporaire. Cette initiative, relayée par les AFC, intervient à la suite des travaux menés depuis 2024 au sein du Comité consultatif du secteur financier (CCSF), où les associations de consommateurs se mobilisent ensemble pour défendre les familles. Dans cette démarche, les AFC ont édité un guide sur les funérailles catholiques pour les familles.

Qu’est-ce qu’un contrat obsèques ?

Un contrat obsèques est un produit d’assurance permettant de prévoir et de financer ses funérailles à l’avance. Parmi les contrats proposés, deux attirent l’attention :

  • La cotisation viagère : la personne cotise jusqu’à son décès. Le risque est de payer au total bien plus que le capital garanti.
  • La cotisation temporaire : la cotisation a lieu pendant une durée définie (par exemple 10, 15 ou 20 ans). Le coût peut sembler plus lisible, mais la couverture reste limitée si le capital garanti est trop faible par rapport aux frais réels d’obsèques.

Ces contrats, censés apporter sérénité, posent en réalité de nombreux problèmes : manque de transparence, frais importants, difficultés d’exécution, ou encore inadéquation entre les montants prévus et le coût réel des obsèques.

Différences entre contrat obsèques et produits d’assurance

Il est essentiel de bien distinguer les contrats obsèques des autres produits d’assurance :

  • Assurance vie : il s’agit d’un produit d’épargne et de transmission de patrimoine. Vous versez des cotisations ou des primes qui sont capitalisées. À votre décès (ou à une échéance fixée), le capital ou la rente est versé au bénéficiaire désigné, dans un cadre fiscal avantageux. Les proches peuvent en disposer librement : financer les études des enfants, compléter leurs revenus, ou même payer les obsèques s’ils le souhaitent. Mais l’usage du capital n’est pas limité aux frais funéraires. Contrairement à l’assurance décès, l’épargne constituée vous appartient et vous pouvez la récupérer (en totalité ou en partie) de votre vivant sous forme de rachat.
  • Assurance décès : c’est un produit de prévoyance pure. Elle garantit le versement d’un capital ou d’une rente uniquement si l’assuré décède pendant la durée du contrat. Elle sert à protéger financièrement les proches en cas de décès prématuré (rembourser un prêt, compenser une perte de revenus, financer l’éducation des enfants…). La souscription est limitée en âge et peut comporter des exclusions médicales. La plupart des assurances décès sont temporaires (10, 15, 20 ans, ou jusqu’à un âge plafond comme 65 ou 70 ans). Elles sont dites « à fonds perdus » : si le décès n’intervient pas pendant la période couverte, les cotisations ne sont pas récupérées. Exemple : vous souscrivez une assurance décès jusqu’à 65 ans → si vous décédez avant, le capital est versé ; si vous êtes encore en vie à 65 ans, le contrat prend fin sans restitution.
  • Contrat obsèques : il s’agit d’une forme particulière d’assurance décès, exclusivement destinée à financer et parfois organiser les funérailles. Le capital est affecté aux héritiers ou à une entreprise de pompes funèbres, avec obligation de l’utiliser pour les frais d’obsèques. Comme pour l’assurance décès, la souscription est limitée en âge, et le contrat peut être à cotisation viagère (on cotise jusqu’au décès, avec le risque de surpayer par rapport au capital garanti) ou à cotisation temporaire (on cotise pendant une durée déterminée, par exemple 10 ou 15 ans). Dans les deux cas, le contrat ne constitue pas une épargne disponible : l’argent ne peut pas être récupéré par l’assuré. Pour aider les familles, l’AGIRA (Association pour la gestion des informations sur le risque en assurance) peut être saisie afin de rechercher l’existence d’un contrat obsèques ou d’une assurance vie au décès d’une personne.

Comment s’y retrouver ?

Ainsi, une règle simple permet de s’y retrouver :

  • L’assurance vie relève de l’épargne : on peut récupérer son argent, capitalisé au fil du temps.
  • L’assurance décès et le contrat obsèques relèvent de la prévoyance : on cotise pour se protéger contre un risque, sans récupération des cotisations si ce risque ne survient pas.

Cette distinction est essentielle pour que les familles choisissent en toute connaissance de cause le produit qui correspond vraiment à leurs besoins.

Notre action au service des familles

Depuis plusieurs années, la CNAFC est sensibilisée à ce sujet. Ainsi, au sein du Conseil national des opérations funéraires (CNOF), elle a contribué à l’instauration d’un devis obligatoire pour toute prestation funéraire, incluant la recherche de l’existence d’un contrat obsèques et ses modalités d’exécution.
Cette avancée protège les familles contre les pratiques abusives et leur garantit une meilleure information dans des moments souvent difficiles.

Pourquoi vos témoignages sont essentiels

L’appel lancé par l’Unaf et UFC-Que Choisir vise à recueillir, avant le 15 octobre 2025, les expériences des souscripteurs et de leurs proches. Vos témoignages permettront de nourrir un plaidoyer commun en faveur d’une évolution de ces contrats : plus de clarté, plus de protection et plus de justice pour les familles.

En partageant vos expériences, positives ou négatives, vous contribuez à faire bouger les lignes et à renforcer la défense des consommateurs dans un domaine où les familles sont particulièrement vulnérables.

Répondez au questionnaire ! 


Contact : mperrieau@unaf.fr