Les cinq cadeaux que la famille apporte à la société (article Aleteia) – Pascale MORINIERE.

Lors de la soirée de clôture de l’Université de la Vie organisée par Alliance Vita, le 5 février dernier, Pascale Morinière, présidente des Associations Familiales Catholiques (AFC), a résumé en cinq points les bienfaits de la famille pour chaque être humain et pour la société : école de l’amour, accueil de la vie, humanisation, socialisation, solidarité.

Si le mouvement des no kids ou child free fait bien souvent les titres de la presse, il est loin de refléter l’opinion très majoritaire de nos concitoyens : dans un sondage du Parisien d’octobre dernier, 83% des Français interrogés plaçaient la famille en tête de leurs préoccupations, bien avant le travail, les loisirs ou l’argent… A rebours du courant malthusien des child free, les Français plébiscitent la famille. Le cœur de chaque Français bat d’abord pour sa famille ! 

La famille apporte à chaque être humain et à la société cinq présents qu’elle seule est capable de transmettre. Voici ces cinq présents :

La famille est un lieu de croissance humaine, elle est la première école de l’amour, là où on apprend, si on le veut bien, à se décentrer du « moi d’abord » qui nous encombre si souvent !

La famille offre la vie. Elle est le berceau de la vie humaine. La philosophe Hannah Arendt rappelait qu’à chaque génération, « le miracle qui sauve le monde, c’est la naissance d’hommes nouveaux ». C’est dans la famille que ce miracle s’accomplit.

La famille apporte aussi l’humanisation des nouveaux êtres humains, par l’amour, bien sûr, mais aussi par la transmission du langage sur les genoux de nos parents. Entrer dans le langage permet de se comprendre soi-même, ouvre à la relation avec autrui avec les mots et non par la violence et, enfin, permet de s’insérer dans une culture. 

La famille est encore la matrice, l’incubateur de la vie sociale : elle apprend à chacun à se situer dans des relations d’altérité et à sortir de la toute-puissance du petit enfant. Elle permet de découvrir par « l’irréductibilité du masculin au féminin », comme l’écrit Sylviane Agacinski, que  » je » ne suis pas le tout de l’humanité. De proche en proche, cette aptitude à la vie sociale tisse et consolide toute la société.

Enfin, la famille est le tout premier lieu de la solidarité. C’est le premier amortisseur social parce que c’est le lieu de l’amour « sans si, ni mais », l’amour inconditionnel, celui qui affirme : « Quoi qu’il arrive, je serai là pour toi ».

Dans une famille, il y a aussi des éclats de voix et des portes qui claquent, des familles blessées et des familles blessantes ! Bien sûr, mais à force de ne regarder que ce qui dysfonctionne, on en oublie de présenter les bienfaits des familles pour chacun et pour la cohésion de la société dans son ensemble : école de l’amour, accueil de la vie, humanisation, socialisation, solidarité. La famille ouvre l’avenir ! Quand les familles vont bien, c’est toute la société qui va mieux. La famille est la première agence de paix. Avant tout engagement pour une noble cause, commençons par prendre soin des nôtres : c’est la paix du monde qui à chaque fois en ressortira grandie.

Interpellation des élus contre l’euthanasie et le suicide assisté – Tout Mais Pas Ça ! (toutmaispasca.org)

Pour empêcher la légalisation de l’euthanasie

IL FAUT AGIR

Alertons les parlementaires sur les dangers du projet de légaliser une «aide active à mourir» et appelons-les à protéger la vie. Il est de notre devoir d’interpeller nos élus et de leur enjoindre de ne pas voter ce projet de loi qui leur sera soumis avant l’été !

L’année 2024 serait celle de « nos valeurs » a proclamé le premier ministre Gabriel Attal dans son discours de politique générale le 31 janvier 2024 au Sénat. « Permettre à chacun de mourir dans la dignité » en est une, explique-t-il avant de rentrer dans le détail de l’« en même temps »,  « d’une part nous déploierons plus d’unité de soins palliatifs – une par département, au moins. D’autre part, nous examinerons avant l’été, un projet de loi sur l’aide active à mourir ».

Ce discours réamorce l’offensive euthanasique qui semblait fragilisée en janvier 2024. Le changement de gouvernement n’y était pas pour rien : sortie de la ministre déléguée à la santé Agnès Firmin le Bodo qui portait avec ardeur le projet de loi depuis son origine; nomination de Catherine Vautrin à la tête d’un vaste ministère (Travail Santé Solidarités). Cette ancienne sarkoziste s’est sentie obligée d’exposer une forme d’approbation vis à vis de la mort administrée : « je n’ai pas de difficulté à aborder ce sujet [mais il faut] légiférer d’une main tremblante ». Elle vient de se voir attribuer un ministre délégué à la Santé : le député Frédéric Valletoux.
Le député Valletoux signait en juillet dernier une tribune dans Le Monde affirmant très justement « La fin de vie c’est encore la vie », mais l’avis du député sera-t-il celui du ministre délégué à la Santé nouvellement nommé ? On voit mal comment l’intention déterminée, plusieurs fois réitérée de sa ministre de tutelle pourrait changer. Il ne peut ignorer qu’il a intégré un gouvernement piloté par un exécutif favorable à la légalisation de l’euthanasie.

Dans ce contexte, les promoteurs de l’euthanasie se sont employés à « mettre la pression ». Tribune de députés supporters de la mort maîtrisée, mobilisation de l’ADMD et exposition de leur égérie, Line Renaud, sur le plateau de 7 à 8 pour diffuser gaiement son message mortifère.

Face à ce lobbying qui n’a que la mort à offrir aux Français accablés par la hausse du taux de suicide des jeunes ; Face aux exemples étrangers qui ne cessent de prouver qu’une légalisation de la mort administrée augmente le nombre de suicides et étouffent les soins palliatifs ; on ne peut baisser les bras.

Il est de notre devoir d’interpeller nos élus et de leur enjoindre de ne pas voter ce projet de loi qui leur sera soumis avant l’été. Leur sensibilisation à la vie humaine, au respect des plus dépendants, malades, en fin de vie, commence maintenant. Contactez vos élus pour leur donner votre point de vue (de vie ) : Tout mais pas ça !


>> Contactez vos parlementaires grâce à notre outil d’interpellation en ligne <<

ATELIER ENFANT DE PARENTS SEPARES.

Pourquoi je n’arrive plus à parler à maman et papa?

Comment faire s’ils ne sont plus tous les deux avec moi?

📢 Parcours de 4 séances 

à partir du mercredi 13 mars 2024-16h30 à 18h30

Accompagnez vos enfants dans cette situation grâce aux ateliers pour enfants de parents séparés. Un groupe de parole qui permet aux enfants de s’exprimer sur leur vécu et sur cette transition familiale.

Un atelier animé par 2 médiatrices familiale diplômées d’État.

Atelier pour les enfants de parents séparés – Maison Familya de Lyon (familya-lyon.fr)

Papa et Maman se séparent … Et moi ?


En complément de la médiation familiale, la maison Familya de Lyon propose un atelier pour les enfants de parents séparés,

La séparation a des effets sur l’enfant, mais c’est avant tout la façon dont elle sera gérée par ses parents qui aura un impact plus ou moins négatif. Entre une banalisation parfois excessive des effets de la séparation sur l’enfant, et une dramatisation exagérée, une troisième voie est à trouver : une attention redoublée aux besoins des enfants dans ces circonstances.

Si les besoins de l’enfant restent les mêmes avant et après la séparation, la séparation peut rendre plus difficile la satisfaction de certains besoins. Ainsi, les besoins d’amour et de sécurité peuvent être particulièrement mis à mal en cas de conflits aigus entre les parents.

L’atelier pour les enfants de parents séparés vise à aider les enfants à exprimer leur ressenti et à vivre au mieux la transition familiale liée à la séparation de leurs parents.

LE PARCOURS

Pour qui ?

Les enfants âgés entre 8 et 12 ans, dont les parents sont séparés ou en cours de séparation
N’hésitez pas à nous contacter si votre enfant ne se situe pas dans cette tranche d’âge. Sa participation peut être envisagée après discussion avec l’une des animatrices.

Quels objectifs ?

Les ateliers permettent aux enfants de rencontrer d’autres enfants qui vivent une situation comparable et avec eux, ils peuvent :

  • mettre des mots sur le changement de leur famille
  • partager leur vécu et les émotions liées à ce changement
  • apprendre à mieux gérer les situations conflictuelles
  • construire de nouveaux repères
  • apprendre à exprimer leurs besoins

Qui sont les animateurs ?

L’atelier est animé par deux professionnels diplômés (médiatrices familiales DE). La co-animation permet d’accorder une attention à chaque enfant tout en veillant à la dynamique du groupe.


Le déroulement de l’atelier

Les ateliers se déroulent sur 4 mercredis consécutifs, de 16h30 à 18h30 :

  • Séance 1 : Ma famille et la séparation
  • Séance 2 : Et moi, comment je vis ce changement ?
  • Séance 3 : Quelle est ma place dans tout ça ?
  • Séance 4 : Ce que j’ai envie de dire à mes parents …

Les parents participent à la dernière séance de l’atelier.


Quels résultats ?

Les enfants :

  • sont unanimes sur l’importance d’avoir un espace privilégié pour aborder toutes les
    questions liées à la séparation de leurs parents. Ils se sentent plus sereins.
  • disent se sentir plus à l’aise pour communiquer et pour parler de leurs émotions.
  • ont une meilleure connaissance d’eux-mêmes et de leurs besoins.
  • sont rassurés de ne pas avoir à assumer un rôle qui n’est pas celui d’un enfant.
  • sont heureux d’avoir pu partager leur vécu avec d’autres enfants : ils ne se sentent plus seuls
    face à la séparation et cela les renforce dans leur capacité d’adaptation à la nouvelle
    configuration de leur famille.


Les parents

  • ont pu entendre comment leurs enfants vivent la séparation et mieux comprendre quels sont
    les enjeux pour les accompagner dans ce changement.
  • sont renforcés dans leur rôle de parents.
  • apprennent à mieux répondre aux besoins de leurs enfants.
  • peuvent prendre appui sur l’expérience de l’atelier pour favoriser le dialogue avec leurs
    enfants.

ATELIER PARENTS D’ADOLESCENTS.

Comment communiquer avec notre ado et l’aider à se construire ?

Poser un cadre tout en favorisant estime de soi et autonomie, voilà ce que vous propose l’atelier des parents d’ados. Cet atelier de 6 séances pour aborder des clés de communication dans le but de restaurer ou renforcer un climat de bienveillance dans la famille.

Parcours de 6 séances:

📢 mardi 12 et 26 mars2024 

mardi 2 et 30 avril2024

lundi 13 et 27  mai 2024

20h – 22h

Atelier pour parents d’ados – Maison Familya de Lyon (familya-lyon.fr)

Chaque rencontre s’organise autour de 3 temps principaux : prise de conscience de notre façon de faire, découverte d’outils concrets et mise en pratique. Un livret pédagogique est remis à chacun ; il reprend l’essentiel des thèmes abordés, présente les outils et propose des exercices d’application. Des bandes dessinées humoristiques illustrent les différentes situations et un mémo résume ce qu’il faut retenir de chaque séance.

ATELIER DECOUVERTE IMAGO

Comment retrouver l’insouciance de nos débuts ? 

Où sont passés nos fous rire et nos regards tendres l’un vers l’autre ?

Où trouver les ressources pour renforcer notre amour ?

📢mercredi 13 mars 2024  19h30 – 22h30

Que vous soyez dans une relation stable ou que vous traversiez une période houleuse, l’approche IMAGO vous permettra de découvrir une nouvelle manière de  vous écouter et communiquer ensemble.

• Apprendre à écouter et à comprendre votre partenaire
• Dissoudre les tensions et les conflits pour en faire des opportunités de croissance
• Découvrir quelles sont les raisons inconscientes qui vous ont fait choisir votre partenaire
• Devenir ensemble les artisans d’une relation consciente, apaisée et vivifiante

Vous pourrez découvrir l’approche Imago à travers un topo théorique, des démonstrations et exercices pratiques qui vous permettront de communiquer en couple en toute sécurité et confidentialité.

Découvrez l’approche IMAGO pour enrichir et prendre soin de votre couple :Atelier découverte IMAGO – Maison Familya de Lyon (familya-lyon.fr)