PARTAGER ET DIFFUSER LE FILM: LES SOUFFRANCES CACHEES DE L’EUTHANASIE.

Documentaire – Les souffrances cachées de l’euthanasie (youtube.com)

Dans le contexte du débat sur l’aide active à mourir, les AFC présentent un
documentaire tourné en Belgique avec la participation de professionnels de
santé qui vivent directement les conséquences de la loi sur l’euthanasie
votée en 2002.


Que trouve-t-on dans le documentaire ?
Il a été conçu comme un recueil de témoignages de soignants confrontés à
l’euthanasie et à ses conséquences depuis plusieurs années. Les personnes
interrogées dans le documentaire sont :

Le professeur Timothy Devos, hématologue, référent des soins
palliatifs,

Le Dr An Haekens, psychiatre pour personnes âgées,

Éric Vermeer, infirmier en soins palliatifs, psychothérapeute et éthicien

François Truffin, infirmier en soins palliatifs,
ainsi que Jean-Paul Van de Walle, conseiller juridique.

Quel est l’objectif de ce documentaire ?
La volonté du réalisateur est de faire parler, sans tabou, des soignants et
experts aux charismes divers dans un pays qui a légalisé l’euthanasie il y a vingt
ans. Les expériences vécues renvoient aux questions de liberté de la personne
et de la dignité, mais dévoilent aussi les conséquences moins connues de
l’euthanasie : celles des souffrances collatérales qui continuent chez les
proches comme chez les tiers soignants…


« Le recul sur la loi en Belgique permet de se rendre compte d’une chose
effroyable, c’est que l’euthanasie ne supprime pas les souffrances, mais les
déplace sur les proches et les soignants. » – Benoît Hautier.

COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA CNAFC: IVG DANS LA CONSTITUTION, UN PAS DE PLUS VERS LA DECIVILISATION.

Le Congrès réuni à Versailles a voté lundi 4 mars l’inscription de « la liberté
garantie de la femme d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse »
dans la Constitution française.
Célébrée comme une victoire historique avec une forte majorité de 780
parlementaires sur 902 votants, des scènes de liesse parmi les congressistes, la
tour Eiffel mise en mode scintillement et affichant « mon corps, mon choix »,
ce texte n’a été contré que par les voix de 72 parlementaires.
Les AFC saluent le courage de ces 72 députés et sénateurs qui ont maintenu
leur opposition à cette constitutionnalisation malgré les pressions.
Le 24 mai dernier, le président de la République a comparé les violences en
cours dans la société à un « processus de décivilisation ».
Ce processus n’a pas seulement lieu dans la rue. Il se produit aussi dans les
lois injustes, a fortiori lorsqu’on les grave dans la Constitution.
L’ensauvagement de la société n’est pas uniquement le fait de
comportements individuels puisque la loi fondamentale de la société bafoue
désormais la dignité de la personne et de la vie humaine.
Cette « grande victoire » signe seulement l’impuissance de l’exécutif qui s’est
battu contre un ennemi imaginaire et se paye de mots en affirmant écrire
l’Histoire alors qu’il viole les droits de ceux qui sont « sans voix » et se refuse à
regarder les femmes en situation de détresse qui attendent d’être aidées et
soutenues.
La France croit être le « phare de l’humanité », comme l’a affirmé le premier
ministre, alors qu’elle participe à la mondialisation de l’indifférence envers les
familles et les femmes en difficultés en invisibilisant leurs demandes d’aide
psychologique, matérielle ou financière.
Le sort des plus fragiles, « quoi qu’il en coûte », ne devrait pas être soumis à
des manipulations politiques ou émotionnelles mais considéré avec gravité et
attention pour déployer des politiques dignes de la « fraternité » inscrite dans
notre devise républicaine.

Cycle de conférences pour les couples : un “service après-vente” du mariage

Avec Aimer en vérité, les AFC proposent aux couples de suivre en ligne un cycle de conférences, cette année sur le thème de la fidélité. Prochaines conférences : les 21 mars et 23 mai 2024.

Un “service après-vente du mariage” 

L’idée du programme Aimer en vérité  provient d’un constat partagé : depuis plusieurs années, il est frappant de voir la détresse de nombreux couples, qu’ils soient jeunes ou moins jeunes, avec des impacts très lourds, notamment sur leurs enfants, parfois nombreux. D’autre part, les préparations au mariage sont un point de départ essentiel mais il existe très peu de propositions pour un “service après-vente” du mariage.

Aimer en vérité répond à ce défi en proposant aux couples un cycle de 3 conférences en ligne gratuites chaque année, afin d’approfondir le mystère du couple chrétien. Cette année, les formations portent sur le thème de la fidélité.

Le but de ce programme est d’inviter tous les couples à prendre du temps pour se fortifier, pour se former en vue de prévenir les difficultés qui surgiront durant leur vie.

Aux AFC, nous savons bien que lorsque les couples sont stables et unis, c’est leur famille qui va bien et en définitive toute la société qui en bénéficie.

De son canapé, partout en France !

La formule visioconférences permet à la fois de toucher tous les couples de France et d’ailleurs.

C’est aussi l’occasion de s’organiser une petite soirée à deux et d’être créatif : dîner en amoureux devant l’écran, boire une coupette de champagne pour fêter ce moment que l’on s’offre, faire un feu dans la cheminée, etc. A vos initiatives !

Chaque cycle de conférences est composé du témoignage d’un couple, puis lors d’une deuxième soiréede l’apport d’un psychologue conjugal. Enfin, la dernière conférence donne une vision spirituelle du sujet grâce à l’intervention d’un religieux.

Le couple est le socle de la famille. Nous vous espérons nombreux et n’hésitez pas à en faire profiter les couples de votre entourage, les associations familiales ou les équipes de préparation au mariage.

Interpellation des élus contre l’euthanasie et le suicide assisté – Tout Mais Pas Ça ! (toutmaispasca.org)

Pour empêcher la légalisation de l’euthanasie

IL FAUT AGIR

Alertons les parlementaires sur les dangers du projet de légaliser une «aide active à mourir» et appelons-les à protéger la vie. Il est de notre devoir d’interpeller nos élus et de leur enjoindre de ne pas voter ce projet de loi qui leur sera soumis avant l’été !

L’année 2024 serait celle de « nos valeurs » a proclamé le premier ministre Gabriel Attal dans son discours de politique générale le 31 janvier 2024 au Sénat. « Permettre à chacun de mourir dans la dignité » en est une, explique-t-il avant de rentrer dans le détail de l’« en même temps »,  « d’une part nous déploierons plus d’unité de soins palliatifs – une par département, au moins. D’autre part, nous examinerons avant l’été, un projet de loi sur l’aide active à mourir ».

Ce discours réamorce l’offensive euthanasique qui semblait fragilisée en janvier 2024. Le changement de gouvernement n’y était pas pour rien : sortie de la ministre déléguée à la santé Agnès Firmin le Bodo qui portait avec ardeur le projet de loi depuis son origine; nomination de Catherine Vautrin à la tête d’un vaste ministère (Travail Santé Solidarités). Cette ancienne sarkoziste s’est sentie obligée d’exposer une forme d’approbation vis à vis de la mort administrée : « je n’ai pas de difficulté à aborder ce sujet [mais il faut] légiférer d’une main tremblante ». Elle vient de se voir attribuer un ministre délégué à la Santé : le député Frédéric Valletoux.
Le député Valletoux signait en juillet dernier une tribune dans Le Monde affirmant très justement « La fin de vie c’est encore la vie », mais l’avis du député sera-t-il celui du ministre délégué à la Santé nouvellement nommé ? On voit mal comment l’intention déterminée, plusieurs fois réitérée de sa ministre de tutelle pourrait changer. Il ne peut ignorer qu’il a intégré un gouvernement piloté par un exécutif favorable à la légalisation de l’euthanasie.

Dans ce contexte, les promoteurs de l’euthanasie se sont employés à « mettre la pression ». Tribune de députés supporters de la mort maîtrisée, mobilisation de l’ADMD et exposition de leur égérie, Line Renaud, sur le plateau de 7 à 8 pour diffuser gaiement son message mortifère.

Face à ce lobbying qui n’a que la mort à offrir aux Français accablés par la hausse du taux de suicide des jeunes ; Face aux exemples étrangers qui ne cessent de prouver qu’une légalisation de la mort administrée augmente le nombre de suicides et étouffent les soins palliatifs ; on ne peut baisser les bras.

Il est de notre devoir d’interpeller nos élus et de leur enjoindre de ne pas voter ce projet de loi qui leur sera soumis avant l’été. Leur sensibilisation à la vie humaine, au respect des plus dépendants, malades, en fin de vie, commence maintenant. Contactez vos élus pour leur donner votre point de vue (de vie ) : Tout mais pas ça !


>> Contactez vos parlementaires grâce à notre outil d’interpellation en ligne <<

Raconte-moi l’histoire de ta vie : un concours d’écriture intergénérationnel

Les grands-parents se livrent, les enfants écrivent. C’est le thème du concours qu’organise les Associations Familiales Catholiques en partenariat avec l’hebdomadaire Famille chrétienne, l’agence Ictus Voyages et le journal Famileo un concours d’écriture pour favoriser le développement des relations familiales entre les générations.

Renforcer les liens entre les générations

Les petits-enfants sont invités à recueillir, à l’occasion de plusieurs échanges avec eux, les mémoires de leur grand-père ou de leur grand-mère, et à les rédiger sous la forme d’un entretien, ou d’un récit de vie. Faire mémoire d’une histoire familiale invitera grands-parents et petits-enfants à enrichir et à consolider leurs liens, et à favoriser la transmission d’expériences de vie où les jeunes générations auront ensuite à cœur de s’enraciner.

Le dialogue pourra s’amorcer par la relation des souvenirs d’enfance, des études et du parcours des grands-parents, leurs métiers, l’histoire de leur rencontre, les anecdotes marquantes de la vie de famille etc.  Les plus âgés trouveront ainsi l’occasion de mesurer l’importance de leur rôle auprès de leurs descendants. Les jeunes (re)découvriront à leur tour combien leur grand-père et leur grand-mère recèlent des trésors !

De nombreux prix pour les lauréats

Un jury composé de 7 membres sera mandaté pour sélectionner le(s) meilleur(s) récit(s), et attribuer les prix aux gagnants. Le meilleur écrit recevra dix exemplaires de son ouvrage imprimé par les soins de la Confédération des A.F.C. pour promouvoir auprès du grand public un témoignage de vie enrichissant pour tous.

Parmi les autres récompenses figurent un voyage offert par Ictus Voyages pour un jeune âgé de 16 ans au plus, à valoir sur un séjour à Rome « grands-parents/petits-enfants » si le jeune voyage avec un grand-parent (avant le 31 décembre 2025), trois abonnements intégraux (magazine et web) d’un an à Famille chrétienne, et trois « box Famileo » avec six mois d’abonnement.

Comment participer ?

Le concours Raconte-moi l’histoire de ta vie est gratuit est ouvert à tous à partir de 15 ans. Les jeunes écrivains ont jusqu’au 31 octobre 2024 pour remettre deux exemplaires de leur participation (une vingtaine de pages) à l’adresse suivante : Confédération nationale des A.F.C. 28 place Saint-Georges, 75009 Paris ainsi qu’un envoi par courriel à concours@afc-france.org

Toutes les informations relatives au concours sont disponibles et téléchargeables : REGLEMENT DU CONCOURS

Contact : concours@afc-france.org