UNE FIN D’ETE EN DOUCEUR: LES FAMILIADES DU 23 AU 25 AOÛT AU PUY-EN-VELAY.

Pour la 5e année, les AFC vous proposent 3 jours de détente, de rencontres et de formation en famille. Adultes, adolescents, enfants: à chacun son programme selon son âge !

Rejoignez les familles du 23 au 25 août au Puy-en-Velay !

De nombreuses activités à vivre ensemble sont prévues: découverte du sanctuaire du Puy, conférences avec des intervenants remarquables, jeu de piste en famille, son et lumière, temps festifs… Le séjour idéal pour se former et se ressourcer avant la rentrée !

Programme

du vendredi 23 août 13h30 au dimanche 25 août à 14h

Adultes :

– Conférences (Marie-Andrée Blanc, présidente de l’UNAF, Emmanuel Brochier, doyen de l’IPC, Sabrina et Steven Gunnel, cinéastes et signataires du documentaire « Une seule chair » – sous réserve de confirmation)

– Ateliers sur des problématiques de société (éducation, politique familiale, éducation affective, communication dans le couple…)

– Dîner en couple

Adolescents (12-17 ans) :

– Montée vers Saint-Michel d’Aiguilhe

– Service auprès des soeurs de Saint Jean

– Echanges avec le Père Trevet, curé de Notre-Dame du Puy

– Visite du Camino

Enfants (6-11 ans) :

– Visite du Camino

– Echanges avec le Père Trevet

– Atelier bricolage

– Jeux

– Veillée

Tout-petits (0-6 ans) :

Pris en charge par les baby-sitters: jeux, lecture, plein air, sieste …

Formule tout compris (sauf transport) : 95 € par adulte et 50 € par enfant (à partir de 3 ans). Hébergement en chambre simple, double ou familiale au Grand Séminaire. 

Découvrez le teaser:

VOUS ÊTES MAMAN D’UNE PERSONNE MALADE OU HANDICAPEE ? UNE JOURNEE POUR VOUS !

Le 4 avril 2024

De 09h00 à 17h30 – Familya – 52 cours Charlemagne – Lyon 2

Une journée pour les mamans d’une personne malade ou handicapée, quelque soit leur âge et quelque soit le handicap et l’âge de leur enfant. Pour souffler, prendre soin d’elles, déposer les réalités du quotidien et retrouver de l’élan.

Une invitation pour chacune à grandir dans la confiance avec le thème retenu cette année: « Un jour à la fois dans la confiance » .

  • – Témoignage d’une maman concernée et regard d’une professionnelle pour approfondir ce besoin de confiance.
  • – Echanges en petits groupes
  • – Ateliers de détente et de réflexion au choix

INSCRIPTION: Inscription à un évènement (och-ombresetlumiere.fr)

COMMUNIQUE DE PRESSE DE LA CNAFC: Réaction des AFC suite à la publication du projet de programme d’éducation à la sexualité.

Après lecture du projet de programme d’éducation à la sexualité mis en ligne
par le Conseil Supérieur des programmes, la Confédération Nationale des 280
Associations Familiales Catholiques entend réagir fortement. Nous saluons la volonté de combattre l’exposition des enfants et des jeunes à la pornographie, de développer l’éducation aux réseaux sociaux, d’éduquer à l’intimité et à la pudeur et d’encourager au respect mutuel.


En revanche, ce projet de programme cherche à transmettre une pensée et un
comportement uniques, en lien étroit avec la culture dominante, sans respect
pour la liberté de conscience des familles.
On y retrouve ainsi le primat envahissant de l’émotion pour encourager les
choix et le discernement des enfants et des jeunes et la lutte contre les soi
disant « stéréotypes de genre » de la maternelle à la terminale, rappelant les
exercices des ABCD de l’égalité promus en 2014 par Najat Vallaud Belkacem.
Nous regrettons que les parties scientifiques sur la procréation, la grossesse et
la naissance, pourtant essentielles pour répondre aux questions des enfants
sur leur origine, soient très peu développées. Les deux dernières, grossesse et
naissance, n’étant abordées qu’en maternelle.


Nous ne pouvons accepter l’absence de référence aux parents, remplacés par
des « adultes de confiance », de même niveau que l’école, l’environnement
médical ou sportif. Le projet promeut une banalisation des structures
familiales jusqu’aux « enfants placés en foyer ». Les familles unies sont
qualifiées de « familles hétéroparentales ». Dans cette indifférenciation, on
oublie que les 2/3 des enfants mineurs vivent dans des familles avec leur père
et leur mère et on semble ignorer les souffrances profondes engendrées par
les ruptures familiales.


Les AFC demandent :

  • A remplacer la notion « d’adultes de confiance » par une référence aux
    parents premiers et principaux éducateurs de leurs enfants, même s’ils
    ne sont pas les seuls. Rappelons que la Convention Internationale des
    Droits de l’Enfant, ratifiée par la France stipule que les enfants ont le
    droit d’être élevés en priorité par leurs parents (Art 7). – – – –
  • A supprimer les très nombreuses références au genre, aux rôles, à la
    lutte contre les stéréotypes de genre. L’Education nationale n’a pas
    reçu la mission de rééduquer les familles à travers leurs enfants. La
    très forte résistance des parents, il y a 10 ans, aux ABCD de l’égalité
    aurait dû encourager le Conseil supérieur des programmes à la prudence en la matière.
  • De rappeler que si toutes les structures familiales ont droit au respect,
    l’apprentissage de la résolution des conflits -en particulier à l’école- est
    un élément important pour l’unité familiale qui est la réalité de vie de
    2/3 des jeune mineurs.
  • De développer la partie scientifique sur la procréation, la grossesse et
    la naissance non seulement dans le but de prévenir les grossesses mais
    pour que les jeunes connaissent les processus du tout début de la vie.
  • Enfin, si l’expression des émotions est une dimension essentielle du
    bien-être, rappeler que les émotions ont une dimension informative,
    qu’elles peuvent être trompeuses et qu’au-delà, l’enfant puis le jeune
    doit être éduqué à développer sa capacité à juger et décider grâce à sa
    raison et sa volonté.

DECOUVREZ OU REDECOUVREZ LES WEBSERIES – LE COURS DE LA VIE 1 – LUCAS ET LEA.

Lucas et Léa, le cours de la vie est une web-série pédagogique EARS (éducation affective, relationnelle et sexuelle) de 7 courtes vidéos en accès libre sur internet, destinée aux enfants de 8 à 11 ans et à leurs parents.

Dans l’esprit des « cours en ligne », ces vidéos cherchent à répondre aux questions des enfants sur tous les thèmes qui touchent à la transmission de la vie, à l’amour, à la puberté et à la sexualité. Les parents y trouveront les mots du dialogue et de l’accompagnement de leurs enfants.

Les 7 thèmes sont traités sous forme de vidéos vivantes et humoristiques au sein d’une famille avec Papa, Maman, Léa et Lucas.

Elles sont en ligne sur la chaîne Youtube « Le cours de la vie ».

Elles ont été conçues par des éducateurs à la vie, conseillère conjugale et familiale, technicien d’intervention sociale et familiale et médecin des Associations Familiales Catholiques et avec la participation du CLER Amour et Famille.

Trois pistes pour donner du sens au stage de 3ème de son enfant. (Caroline Moulinet pour ALETEIA)

« Croire que le stage de troisième n’apporte rien est une erreur : c’est une opportunité pour le jeune de mettre un pied dans l’univers professionnel et de l’observer avec ses yeux à lui », affirme Alix de Quillacq.

En classe de quatrième ou de troisième, l’adolescent doit réaliser un stage d’une semaine. Cette étape fait partie de son orientation, un passage obligé qui pousse les parents à investir la question. En effet, le jeune se sent en général bien loin de la vie professionnelle. Une courte semaine à la fin du trimestre, le stage de troisième sert-il vraiment à quelque chose ? Comment ces cinq petits jours peuvent-ils apporter quelque chose dans la vie d’un adolescent ?

1TROP COURT POUR PORTER DU FRUIT ? PAS SI SÛR !

Professionnelle de l’orientation depuis plus de dix ans et auteur du livre “Face aux choix d’orientation, parents et éducateurs, libérez votre pouvoir d’agir !” (Quasar), Alix de Quillacq explique : « Vers quinze ans, les adolescents ont une vision de la vie professionnelle essentiellement par les yeux de leurs parents. Croire que le stage de troisième n’apporte rien est une erreur : c’est une opportunité pour le jeune de mettre un pied dans l’univers professionnel et de l’observer avec ses yeux à lui. »

Pourtant, trouver quoi faire pendant une courte semaine, alors que tous les élèves cherchent en même temps le fameux stage, peut relever du parcours du combattant. Les parents sont alors tentés de réaliser les démarches à la place de leur enfant, rédiger la lettre de motivation ou activer tout leur réseau. Le jeune gagne pourtant à y mettre du sien. Alix de Quillacq explique : « Ce stage correspond à la première fois que le jeune passe du monde scolaire au monde professionnel. Il est bon qu’il se décarcasse pour trouver son stage, et qu’il ose sortir des sentiers battus, quitte à aller vers quelque chose qui l’intéresse moins. Par exemple, si son père est médecin, le jeune a déjà entendu parler des journées d’un médecin. Aller faire son stage chez un collègue du père sera moins riche que d’aller chez un ébéniste, un ingénieur, dans le monde du spectacle ou tester un logiciel 3D chez un graphiste. »

2NE PAS CHERCHER L’ACTION, MAIS L’HUMAIN

Ce premier stage n’est pas une occasion de trouver ce qui aura le plus d’attrait sur un futur CV. « L’objectif du stage de troisième est une mise en mouvement, une ouverture qui permet au jeune d’apprendre une posture », explique la professionnelle de l’orientation. « On ne parle pas de la même façon à un adulte dans le monde professionnel qu’à un copain. Beaucoup de jeunes ont besoin d’apprendre le savoir-être professionnel : connaître les codes vestimentaires du secteur, regarder dans les yeux, dire Bonjour Monsieur, Bonjour Madame, savoir s’intéresser et poser des questions. »

Il ne faut pas chercher l’action, mais l’humain. L’orientation est le fruit des expériences, ce n’est pas une démarche intellectuelle.

Même si les questions posées ne sont pas les plus pertinentes, l’intérêt que montre le jeune permet aux adultes de lui faire découvrir un monde qui lui est encore inconnu. D’autant que le stage de troisième n’est plus une garderie, bon nombre d’entreprises proposent des parcours qui permettent aux adolescents de discuter avec plusieurs interlocuteurs. « Il ne faut pas chercher l’action, mais l’humain. L’orientation est le fruit des expériences, ce n’est pas une démarche intellectuelle », explique Alix de Quillacq.

3DONNER LE MEILLEUR DE SOI-MÊME DANS LE TRAVAIL

Les adolescents vont découvrir des personnes qui aiment leur travail et en parlent positivement. « Ils vont découvrir une diversité, d’autres jeunes sympas qui aiment ce qu’ils font : ce stage va élargir leur regard. A leur âge, ils ont besoin de voir qu’on peut être content d’aller travailler », encourage Alix de Quillacq. 

Le stage de troisième est donc une première occasion pour l’adolescent de mettre un pied dans le monde des adultes, de découvrir, d’expérimenter et ainsi, de développer son estime de lui-même. Plus tard, il sera appelé à apporter sa pierre à l’édifice et à trouver un lieu pour donner le meilleur de lui-même.