WEEK-ENF AFCélib’ : UNE NOUVELLE EDITION. RENDEZ-VOUS LES 21 ET 22 JUIN

Cher Célib’,

Tu souhaites te lancer dans l’aventure d’un week-end rencontres sérieux et convivial organisé par les Associations Familiales Catholiques ?

Nous serions heureux de te compter parmi les participants les 21 et 22 juin 2025  !

Après le succès de l’édition 2024, qui a rassemblé près de 110 participants des quatre coins de France, les AFC renouvellent cette proposition pour les jeunes célibataires entre 26 et 40 ans.

Ce week-end est l’occasion de partager des moments amicaux, des jeux, une soirée dansante afin de faire de nouvelles rencontres et de nouer de nouvelles amitiés. Cette année, nous avons choisi pour thème « Ma région d’être ». Préparez-vous à défendre les couleurs de vos régions ! Entre vins, fromages et traditions, c’est de pied ferme que nous vous attendons !

C’est le moment d’en parler autour de vous, les inscriptions sont ouvertes !

Infos pratiques

Les 21 & 22 juin 2025

Lieu : Massabielle (Saint Prix – 95)

Hébergement : deux modes de couchage différents, sous tente ou à l’intérieur en dur avec un prix différencié

PAF : 100€ ou 140€ (selon couchage)

SAUVEGARDONS L’INTERDIT DE TUER. VISIO DE LA CONFERENCE DU 5 MAI AVEC LES AFC, LA FONDATION LEJEUNE ET LE COMITE PROTESTANT EVANGELIQUE POUR LA DIGNITE HUMAINE (CPDH).

En présence de :

  • Dr Pascale Morinière, présidente de la Confédération nationale des AFC
  • Grégoire François-Dainville, directeur général de la Fondation Jérôme Lejeune
  • Franck Meyer, président du Comité Protestant Évangélique pour la Dignité Humaine (CPDH)

Cette conférence vous donnera les clés pour comprendre les enjeux politiques actuels et agir concrètement. En tant que citoyens, nous avons la responsabilité de faire entendre une voix ferme pour le respect de la vie.

A l’heure où de nombreux politiques français saluent les positions du Pape François, rappelons leur qu’il voyait dans l’euthanasie «un échec de l’amour, reflet d’une “culture du rejet”»

CAMPAGNE DE SENSIBILISATION DES AFC, DES LE 5 MAI : « QUELLE SOCIETE VOULONS-NOUS ? »

Les AFC lancent une campagne de sensibilisation à destination des parlementaires et des Français sur le sujet de l’euthanasie et du suicide assisté.


Une société du soin et de l’attention, ou une société du renoncement et de la mort sur ordonnance ? Voilà le thème de sensibilisation et de réflexion proposé dans cette campagne des AFC.
Sous forme de visuels expressifs, une même situation de souffrance est illustrée selon la logique du développement des soins palliatifs ou selon celle de l’aide à mourir.
Les scènes sont tirées de faits réels survenus dans les pays qui ont déjà légalisé l’euthanasie et/ou le suicide assisté.
L’objectif est d’alerter les parlementaires et le grand public sur les effets négatifs que la Loi sur le « droit à l’aide à mourir » produirait : – elle concernerait chaque personne qui aurait à se poser la question de ne plus « peser » à la fin de sa vie, – elle introduirait une confusion entre « soigner » et « faire mourir », – elle créerait des conflits au sein des familles, – elle n’éviterait pas les dérives successives – elle affaiblirait la relation de confiance avec les soignants.
Les cinq visuels seront envoyés aux parlementaires par courrier dès le 5 mai et diffusés en même temps sur les réseaux sociaux.

Ensemble pour la vie – Les Associations Familiales Catholiques

ARTICLE CNAFC DU 5 MAI « DIRECTIVES ANTICIPEES : DE QUOI PARLE-T-ON ? »

Exprimer ses volontés médicales avant qu’il ne soit trop tard : c’est tout l’enjeu des directives anticipées, un outil encore méconnu mais essentiel pour rester maître de ses choix.

Les directives anticipées sont le recueil des volontés d’une personne, qui les écrit en prévision du jour où elle ne peut plus le faire elle-même. Elles y expriment, par avance, la volonté de poursuivre, limiter, arrêter ou refuser des traitements ou actes médicaux.

Les directives anticipées ne sont sollicitées que lorsque la personne est incapable de s’exprimer sur ses choix médicaux. Si elle est en état de communiquer, son avis direct est privilégié.

L’objectif de ces directives est de guider les médecins dans leurs décisions. Elles s’imposent aux professionnels de santé, qui doivent les appliquer, sauf dans deux situations très précises : en cas d’urgence vitale – où il est nécessaire d’agir rapidement avant de prendre le temps d’évaluer les volontés de la personne ; lorsqu’elles sont jugées inadaptées ou non conformes à l’état de santé du patient.

Pour les rédiger, il est possible de remplir un modèle ou de rédiger un document libre. Celui-ci doit préciser l’identité de la personne, ses volontés concernant les traitements médicaux à la fin de sa vie (poursuite, limitation, arrêt ou refus de soins) ainsi qu’une signature et une date de rédaction.

Bien que rien ne soit précisé à ce sujet dans la loi, il est conseillé d’échanger sur ses choix, avec sa famille et/ou une personne de confiance, ainsi qu’avec un médecin.

Un livret détaillant ces démarches, ainsi que les rôles de la personne de confiance, est en cours de préparation par la CNAFC (Confédération Nationale des AFC).

Directives anticipées : de quoi parle-t-on ?

ARTICLE CNAFC – LA LOI SUR LE DROIT A L’AIDE A MOURIR.

Alors que le texte sur “le droit à l’aide à mourir” arrive le 12 mai prochain à l’Assemblée, Pascale Morinière en décrypte les enjeux sur RCF.

Une intervention de Pascale Morinière à écouter sur RCF 

La commission des affaires sociales de l’Assemblée a achevé l’examen du texte sur « le droit à l’aide à mourir ». Où en sommes-nous ?

Ce texte arrivera en discussion dans l’hémicycle lundi prochain, le 12 mai avec le texte sur les soins palliatifs. Ces 2 textes seront examinés ensemble puis se concluront par un vote solennel le 27 mai.

Après cette première lecture, le Sénat examinera à son tour les textes en première lecture. Ils reviendront ensuite à l’Assemblée pour une seconde lecture, puis au Sénat. Nous ne sommes qu’au début d’un long processus législatif.

Et que pensez-vous du texte sur l’aide à mourir ?

Ce texte est très inquiétant et d’une grande violence pour toutes les personnes fragilisées. Il s’agit en l’état du texte le plus permissif au monde !

Tout d’abord, les conditions médicales d’accès permettent d’y inclure de très nombreuses pathologies dès le diagnostic posé ce d’autant qu’il n’existe pas de définition précise de ce qui constitue la phase avancée d’une maladiePourront par exemple être concernés les cancers, les maladies neuro dégénératives, Parkinson, Alzheimer, l’insuffisance cardiaque ou rénale, le diabète, la sclérose en plaques, les maladies auto-immunes etc…

Les contrôles ne pourront avoir lieu qu’à posteriori, c’est-à-dire une fois la personne décédée.

On prévoit de punir toute opposition au suicide assisté ou à l’euthanasie d’un an de prison et 15 000€ d’amende mais, en revanche aucun délit d’incitation à recourir à l’aide à mourir n’a été prévu.

Aucune clause de conscience explicite n’est envisagée, en particulier pour les infirmiers ou les pharmaciens, moins protégés que les médecins.

Et le patient pourra choisir à la carte entre suicide assisté et euthanasie.

Quelles pourraient être les conséquences ?

Tout d’abord une absence de frontière entre soins et aide à mourir avec une perte de confiance envers les soignants. Mais aussi, comme dans les autres pays, un élargissement des conditions d’accès pour les mineurs, les malades psy, l’inscription dans les directives anticipées etc… En même temps et sous la pression du vieillissement de la population, la tentation de faire des économies sur la fin de vie alors que les soins palliatifs sont onéreux.

J’invite les auditeurs à écrire à leur député avec le site Ensemblepourlavie et à prier avec la neuvaine en cours sur Hozana.

La loi sur le droit à l’aide à mourir