DOUZE QUESTIONS SUR L’ARGENT DE POCHE. LA NOUVELLE BROCHURE DES AFC.

Comment éduquer ses enfants à l’argent ? Philippe Barbet, responsable du secteur Éducation de la CNAFC nous présente la nouvelle brochure des AFC.

Cette nouvelle brochure fait partie de la série de brochures « En questions !  » que les AFC proposent aux parents pour les encourager dans leur mission éducative.

Pourquoi une brochure sur l’argent de poche ?

C’est une question qui revient souvent chez les parents : donne-t-on ou non de l’argent de poche à nos enfants ? Au-delà de la réponse apportée par la famille, il s’agit d’un sujet qui est fréquemment évoqué dans les échanges parents-enfants.

Nous avons tous un lien à l’argent, que nous ayons ou non une certaine aisance financière, que nous donnions ou non de l’argent de poche à nos enfants. Notre rôle de parents est de transmettre à nos enfants la juste attitude à adopter dans leur rapport à l’argent, qu’ils en reçoivent ou non de notre part, car ils y sont déjà ou y seront confrontés.

Cette question fait donc partie intégrante de l’éducation, même si l’on n’y pense pas toujours. En effet, les enfants nous voient vivre, ils nous voient dépenser et consommer chaque jour, avec plus ou moins de facilités et de moyens selon les familles et selon les choix propres à chacune quant à leur gestion de l’argent. Cette brochure a pour but d’aider les parents à réfléchir autour du sujet de l’argent. Elle n’apporte pas de réponses et de solutions toutes faites. C’est un outil pour leur permettre de parler d’argent à leur enfant.

De quoi parle-t-on dans ce livret ?

Dans cette brochure, c’est surtout le sujet de l’éducation à l’argent qui est abordé et l’argent de poche en fait partie. Comment transmettre à nos enfants une saine relation à l’argent ? Comment leur apprendre à bien consommer ? Quels sont les risques qui y sont liés ? Quelles sont les précautions à prendre ? Comment apprendre à gérer un budget ? Le cas échéant, quels moyens de paiement utiliser, à quel âge ? Comment apprendre à épargner, à économiser ? Comment transmettre le sens de la gratuité et du partage, et leur apprendre que tout n’est pas monnayable ?

Cela implique également de s’interroger nous-mêmes, sur notre rapport à l’argent, puisque nous savons que nos enfants nous imiteront pour certains ou bien, feront des choix de gestion qui leur sont propres.  Enfin, en tant que chrétiens, l’argent est un thème important, traité régulièrement dans les Évangiles, qui nous mettent en garde contre un amour immodéré des richesses, et nous invitent à un juste partage.

A qui s’adresse cette brochure ?

À tous les parents ! Le choix de donner ou non de l’argent de poche appartient à chaque famille, mais éduquer ses enfants à l’argent est une nécessité indépendante de cette décision.

Ceux qui donnent de l’argent de poche y trouveront des pistes pour le faire dans de bonnes conditions et pour éduquer leurs enfants à une saine relation à l’argent, à une bonne utilisation. Les familles qui ne donnent pas d’argent de poche à leurs enfants pourront aussi y trouver matière à réflexion sur la façon d’éduquer leur enfant à l’argent.

Essentiel pour vivre, l’argent ne doit pas nous rendre esclaves. Il nous appartient d’apprendre à en faire bon usage et à transmettre la notion de partage.

Quel sera le thème de la prochaine brochure 12 questions ?

Rendez-vous en septembre 2025 pour le découvrir !  D’ici là, vous pouvez (re)découvrir toutes nos parutions dans la série 12 questions : 12 questions à se poser sur les réseaux sociaux ; 12 questions pour protéger ses enfants de la pornographie et 12 questions avant de crier sur ses enfants.

Je commande la brochure !

Où se procurer cet ouvrage ?

Cette brochure est éditée aux éditions Téqui, vous pouvez la retrouver en librairie et sur leur site, ainsi qu’auprès de la CNAFC, sur notre boutique en ligne.

Les autres brochures de la série 12 questions sont également disponibles sur notre boutique en ligne.

ARTICLE CNAFC : UN OUVRAGE PORNOGRAPHIQUE POUR LE PRIX GONCOURT DES LYCEENS. (27/09/2024)

Un Prix Goncourt des lycéens a été créé par la FNAC et le ministère de l’Education nationale pour inviter les lycéens à lire et à débattre avec leur classe de romans sélectionnés par les membres de l’Académie Goncourt. Une cinquantaine de classes de lycéens sont ainsi invitées chaque année à primer un ouvrage.

Si on ne peut qu’être favorable au principe de l’organisation d’un tel concours qui incite les jeunes à la lecture, il apparaît que l’un des ouvrages proposés cette année décrit des scènes pornographiques, incestueuses et s’achève par un suicide.

Il est inacceptable d’en proposer la lecture à des jeunes mineurs.

Il s’agit du Club des enfants perdus de Rebecca Lighieri.

Nous invitons les familles à refuser que leurs enfants lisent cet ouvrage et à veiller et accompagner les lectures proposées à leurs enfants et adolescents.

Un ouvrage pornographique pour le prix Goncourt des lycéens (afc-france.org)

RENTREE : QUELLE UTILISATION DES TELEPHONES POUR NOTRE FAMILLE CETTE ANNEE ?

Gabrielle Sebire, auteur de 12 questions à se poser sur les réseaux sociaux, nous propose quelques résolutions de début d’année sur l’usage des écrans.

La rentrée c’est le moment de trouver de nouvelles organisations, de remettre en route les bonnes habitudes alors pourquoi ne pas en profiter pour aller regarder du côté de l’usage de nos téléphones et des réseaux sociaux dans notre famille ? Un bon conseil de famille et nous voilà partis pour faire un pas de côté et aller scruter nos usages et leurs répercussions sur chacun des membres de notre famille. Les AFC, à la suite du travail des Chantiers-Éducation sur cette question, vous proposent quelques pistes de réflexion pour avancer.

Un outil qui sort de l’ordinaire

Ce smartphone avec toutes ses applications n’est pas un outil ordinaire. Prenons par exemple votre vélo. Vous vous en servez uniquement quand vous en avez besoin. Le reste du temps, il ne vient pas vous chercher à grands renfort de notifications, couleurs alléchantes et changeantes, contenus toujours plus adaptés à vos souhaits…Le smartphone remplace bon nombre d’objets : réveil, appareil photo, podomètre, agenda, journaux, livres, lecteur de musique, etc…Et c’est bien là la différence.

Smartphones et applications sont conçus pour venir vous chercher même quand nous n’en avons pas besoin. Ils sont mêmes conçus pour pirater notre cerveau et se servir de ses failles. Rien de grave en soi mais il est utile d’en avoir conscience et d’apprendre à réguler nos usages en fonction des caractéristiques particulières de ces outils.

Nous, parents, avons appris sur le tas avec de multiples erreurs d’appréciation : combien de partages hasardeux sur les réseaux sociaux, d’utilisation excessive qui se met en travers de la relation avec nos proches.

Quelques pistes pour améliorer notre usage du portable

On peut, avant d’en donner un à notre enfant, se rappeler combien il est difficile de lutter contre le temps passé mais aussi la multitude de risques potentiels. L’âge moyen actuel d’accès au smartphone en France est de 9 ans ¾, un âge bien trop jeune compte tenu des risques ! Nos enfants sont les rois de la combine quand il s’agit de contourner les contrôles parentaux.

A quoi servira ce portable ? Est-ce qu’il s’agit juste de pouvoir le joindre et dans ce cas un « 9 touches » pourrait suffire ou bien d’avoir accès à d’autres applications ?

Une start-up vient de lancer « The phone », un téléphone qui permet d’avoir uniquement les options basiques sans accès à internet mais avec l’apparence d’un véritable smartphone, permettant ainsi d’apprendre les bases de l’outil sans ses travers. Ce portable si attirant, on peut le rendre moins attirant en modifiant les paramètres et en le passant en mode « noir et blanc », notre œil est tout de suite moins capté.

Nous avons interrogé plusieurs familles afin qu’elles nous partagent les règles mises en place chez elles. Chez Florence et Philippe les portables sont dans une caisse dans l’entrée pendant les repas, dès lors qu’une activité est proposée à l’ensemble de la famille. Toute la famille doit aussi déposer son portable pour la nuit, pas de portable dans les chambres ! L’achat d’un réveil classique a permis à chacun de se lever sans avoir besoin de la sonnerie de son smartphone. Chez Soline, maman solo, le smartphone est déposé dans l’entrée dès qu’elle rentre afin d’être complètement disponible pour sa fille, sans interférence possible. Elle ne le reprend qu’une fois sa fille couchée. Pour Myriam et Guillaume, effort est fait de regarder son smartphone le plus tard possible le matin et de désinstaller au maximum les applications inutiles. Ils ont aussi décidé de ne regarder leurs réseaux sociaux que sur l’ordinateur familial et de supprimer sur chaque application les notifications pour ne pas être tentés.

Accompagner notre enfant sur les réseaux sociaux

Avoir un smartphone, c’est la possibilité d’accéder aux réseaux sociaux. Attention, contrairement à l’usage constaté chez nos jeunes, ils sont interdits aux moins de 13 ans. Une manière simple de résister est donc de transmettre la loi et de la faire respecter auprès de nos enfants. Avant cet âge, leurs données personnelles ne peuvent être monnayées par les réseaux.

Rappelons nous aussi que si ces réseaux sont gratuits c’est bien parce que nous y laissons un nombre considérable d’informations : sites consultés, temps passé, vidéos regardées ou au contraire évitées, etc. Toute notre vie sur les réseaux fait l’objet d’analyses de données pour être revendues ensuite.

Cependant, les réseaux sociaux font partie de leur vie, de leur univers. Leur vie y est tout aussi « réelle » que la vie physique. Il faut avouer aussi que si les réseaux sociaux présentent de nombreux risques (sédentarité, mauvaises rencontres, contenus à risque, harcèlement, addiction, troubles de la santé mentale, pédocriminalité, piratage, usurpation d’identité…) ils présentent également des chances incroyables de contacter des experts dans des domaines pointus, de monter des projets, de garder des liens, de devenir autonome, d’exercer son esprit critique, de s’engager, d’avoir accès au savoir. Ce sont aussi des lieux d’échange, de solidarité, de réflexion, de soutien.

Avant que notre enfant aille sur les réseaux, posons-nous quelques questions simples : à quoi lui seront utiles ces réseaux (organisation d’activités, possibilité de rester en lien avec ses amis, ses cousins, la famille, de trouver du soutien…) ? De quelle manière allez-vous ensemble paramétrer son compte ? Est-il conscient que tout ce que l’on publie (même auprès d’un cercle restreint et choisi) est donc public ? Mettons en place un mot de passe fort pour que son compte ne puisse être piraté.

Quelles règles mettons-nous en place dans la famille pour qu’il puisse y aller avec confiance ? De quoi avons -nous besoin chacun pour que tout se passe au mieux ? Est-ce que la maturité ou les caractéristiques personnelles de notre enfant nous permettent d’envisager sereinement l’utilisation des réseaux sociaux ? Questionnons-le sur la frontière qu’il met entre vie public et vie privée, qu’est- il prêt à publier et que s’interdit-il de publier.

Est-ce que l’accès au réseau social ne peut pas se faire sur notre smartphone dans un premier temps ? Il aurait ainsi le temps d’avoir une « conduite accompagnée » pour apprendre les règles de bases de la vie sur les réseaux sociaux.

Quelle posture parentale adopter pour les accompagner ?

Raconte-moi, explique-moi, qu’est-ce que tu fais avec ce réseau, comment-est-ce que cela fonctionne ? En posant un regard authentiquement curieux et bienveillant sur notre enfant et ses réseaux sociaux, on peut se tenir informé des évolutions. C’est le monde dans lequel ils sont amenés à évoluer, rien ne sert de dénigrer en bloc si l’on veut pouvoir échanger avec eux.

Ils ont à en apprendre et comprendre les codes. Si nous ne sommes pas toujours les plus compétents en la matière, nous pouvons en revanche leur permettre la prise de recul, les aider à acquérir des points de repères, à faire preuve d’esprit critique et avoir généré un bon espace de dialogue en cas de problème.

Proposer une vie « physique » pour équilibrer la vie virtuelle

Nos enfants (et nous) sommes vissés sur nos écrans. Que pourrions-nous mettre en place cette année pour équilibrer les usages, remettre du contact physique dans nos vies ?

Chez Wilfried, ce sont les enfants eux-mêmes qui ont proposé à toute la famille de regarder précisément le temps passé sur les écrans et de télécharger l’application Screenzen pour rendre moins facile l’accès aux applications. Dans la famille de Lou et Matthieu, on a choisi de faire des propositions ancrées dans le réel : scoutisme, jeux de société, lecture, sorties culturelles, activités avec des amis, chant, cuisine, discussions à bâtons rompus. Chez Cécile, le dimanche a été décrété sans écran pour tout le monde. Chez Caroline, on encourage vivement les rencontres avec les amis que ce soit chez eux ou à l’extérieur en se retrouvant dans un parc, en allant les uns chez les autres pour partager véritablement leurs joies, leurs craintes, leurs peines, leurs réflexions, leurs projets. Enfin chez Bruno et Karine, l’accent a été mis sur la nature et le sport : vélo, randonnée, escalade, excursions, tout est bon pour mettre le nez dehors. L’habitude d’aller sur les réseaux sociaux ne se supprime pas, elle se remplace.

Des réseaux pour rester présents et attentifs aux autres

Si le monde des réseaux sociaux n’est pas le monde des bisounours, on peut apprendre à y évoluer en visant le bien, le beau, le vrai. Tout d’abord en évitant les écueils et les risques liés à l’usage des réseaux par leur connaissance et leur conscience. Sur les réseaux on peut aussi tisser des relations, pratiquer une culture de rencontre vers l’autre qui promeut la paix et l’amitié. On peut aussi y développer l’écoute, ingrédient indispensable à la communication et condition d’un vrai dialogue.

Nos jeunes peuvent également prendre conscience du rôle du silence et de l’espace pour penser lentement, de manière ciblée. Le silence est une denrée précieuse pour la concentration et le discernement.

Ils peuvent enfin passer des réactions rapides, commentaires impulsifs à des opportunités de dialogue, d’attention, de compassion. Cultivons leur capacité à être à la fois sur les réseaux et dans la plénitude de la vie humaine et sociale. Les deux sont complémentaires. Le web social ne remplace pas une rencontre en chair et en os. S’ils restent connectés avec leurs amis, leur famille c’est pour pouvoir ensuite se rencontrer, se réunir à table, se regarder dans les yeux.

En guise de conclusion

Nous parents, comme nos enfants, sommes victimes de cette fameuse « technoférence » qui nous rend indisponibles pour nos proches dès lors que le téléphone est sur la table, dans notre main. Nos enfants nous voient faire et apprennent de nos usages. Tout n’est pas perdu cependant, les générations qui arrivent sont certes énormément sur leur portable mais commencent aussi à être plus prudentes, plus attentives à ce qu’elles diffusent sur les réseaux. De plus en plus vont même jusqu’à remiser leur smartphone pour opter pour un téléphone portable basique. Il est aussi utile de rappeler que les problèmes révélés par l’usage du smartphone et des réseaux sociaux ne sont souvent que le révélateur de problèmes qui existaient auparavant chez le jeune.

Alors, encourageons-nous à limiter les écrans et privilégions la relation en famille, et avec les autres !

Pour aller plus loin

Gabrielle Sebire est mère de famille nombreuse, enseignante et consultante dans le domaine éducatif.
Elle est formée sur le sujet du HPI et ses impacts sur le quotidien de l’enfant, de la fratrie, de la famille, ainsi qu’à l’école. Gabrielle est également co-fondatrice de Happy HP Family, pour aider parents et enfants à faire du haut potentiel un atout pour s’épanouir.

Gabrielle Sebire est également l’auteur, pour les AFC de la brochure 12 questions à se poser sur les réseaux sociaux, parue en septembre 2023 aux éditions Téqui. La brochure est en vente sur notre boutique en ligne au prix de 6€.

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Parcours en ligne pour les parents – Maison Familya de Lyon (familya-lyon.fr)

A FAIRE EN FAMILLE CET ETE : Raconte-moi l’histoire de ta vie : un concours d’écriture intergénérationnel !

Les grands-parents se livrent, les enfants écrivent. C’est le thème du concours organisé par les AFC en partenariat avec Famille chrétienne, Ictus Voyages et Famileo pour favoriser le développement des relations familiales entre les générations.

Renforcer les liens entre les générations

Les petits-enfants sont invités à recueillir, à l’occasion de plusieurs échanges avec eux, les mémoires de leur grand-père ou de leur grand-mère, et à les rédiger sous la forme d’un entretien, ou d’un récit de vie. Faire mémoire d’une histoire familiale invitera grands-parents et petits-enfants à enrichir et à consolider leurs liens, et à favoriser la transmission d’expériences de vie où les jeunes générations auront ensuite à cœur de s’enraciner.

Le dialogue pourra s’amorcer par la relation des souvenirs d’enfance, des études et du parcours des grands-parents, leurs métiers, l’histoire de leur rencontre, les anecdotes marquantes de la vie de famille etc.  Les plus âgés trouveront ainsi l’occasion de mesurer l’importance de leur rôle auprès de leurs descendants. Les jeunes (re)découvriront à leur tour combien leur grand-père et leur grand-mère recèlent des trésors !

De nombreux prix pour les lauréats

Un jury composé de 7 membres sera mandaté pour sélectionner le(s) meilleur(s) récit(s), et attribuer les prix aux gagnants. Le meilleur écrit recevra dix exemplaires de son ouvrage imprimé par les soins de la Confédération des A.F.C. pour promouvoir auprès du grand public un témoignage de vie enrichissant pour tous.

Parmi les autres récompenses figurent un voyage offert par Ictus Voyages pour un jeune âgé de 16 ans au plus, à valoir sur un séjour à Rome « grands-parents/petits-enfants » si le jeune voyage avec un grand-parent (avant le 31 décembre 2025), trois abonnements intégraux (magazine et web) d’un an à Famille chrétienne, et trois « box Famileo » avec six mois d’abonnement.

Comment participer ?

Le concours Raconte-moi l’histoire de ta vie est gratuit est ouvert à tous à partir de 15 ans. Les jeunes écrivains ont jusqu’au 31 octobre 2024 pour remettre deux exemplaires de leur participation (une vingtaine de pages) à l’adresse suivante : Confédération nationale des A.F.C. 28 place Saint-Georges, 75009 Paris ainsi qu’un envoi par courriel à concours@afc-france.org

Toutes les informations relatives au concours sont disponibles et téléchargeables : REGLEMENT DU CONCOURS

Les participants qui désirent recevoir par courrier électronique des nouvelles du concours et des conseils pour l’élaboration et la rédaction de leur écrit peuvent s’inscrire via le formulaire suivant.

Contact : concours@afc-france.org