Et si vous deveniez « correspondant des AFC » auprès de votre paroisse ?

Chers amis AFC,

En ayant décidé d’adhérer aux AFC, vous avez témoigné de l’attention que vous portez à la Famille et de votre sollicitude à son égard à un moment de son histoire où elle est particulièrement fragilisée. Le coeur de la mission des AFC est d’apporter aux familles un service, un soutien qui tire son sens de l’amour que l’Eglise porte à chaque famille. Toutes nos actions doivent sans cesse revenir à ce fondement.

Partant de ce principe, les AFC   souhaitent se rapprocher encore plus de l’Eglise locale et de toutes les familles en lien avec les Paroisses. L’objectif est de mieux rendre visible l’AFC dans les Paroisses de notre secteur, faire connaître notre rôle, nos services.

Cette démarche entre dans le cadre d’application du Protocole conclu entre l’Eglise de France et les AFC en 2008

Aussi désirons-nous poursuivre la mise en  place des « Correspondants de Paroisse » dont la mission essentielle est d’assurer une certaine présence AFC auprès des paroisses, en assurant, dans la mesure du possible, les missions suivantes :

– informer sur les « Evènements » AFC (quête Fête des mères, conférences, etc.)

– informer sur les Services proposés par les AFC (bourses aux vêtements, chantiers, etc)

– mettre l’AFC au service de la paroisse (soutien pour organiser des évènements en lien avec notre mission)

– établir, si besoin, un lien avec les adhérents implantés sur le territoire de la paroisse

Ces missions ne devraient donner lieu qu’à un contact épisodique avec les équipes de la paroisse. Bien entendu, les informations et le support nécessaires vous seront donnés par l’AFC.

Merci d’avance pour votre réponse,

Nous sommes à votre disposition pour donner toutes précisions nécessaires sur cette action. N’hésitez pas à nous contacter.

Soyez assurés de notre dévouement au service de la Famille selon le plan de Dieu.

Marie-Sophie de Closmadeuc

Présidente de la FAFC du Rhône

Juristes pour l’enfance : leurs dernières actions

  • Actions en faveur des enfants et des adolescents en questionnement de genre

Nous assistons à une augmentation inquiétante des enfants en questionnement de genre, et à une déferlante de l’approche dite « trans-affirmative » prônant « l’affirmation sociale » des enfants (leur auto-détermination dans le genre qui leur convient et l’obligation pour les tiers de les interpeller avec le prénom et le pronom qu’ils choisissent), ainsi que l’affirmation médicale (prise d’hormones bloquant la puberté et/ou d’hormones sexuées antagonistes donnant l’apparence du sexe opposé, puis chirurgie de « réassignation »).

Afin d’offrir aux parents et professionnels de l’enfance des pistes concrètes pour aider de façon constructive les jeunes concernés, Juristes pour l’enfance a organisé le 20 novembre un colloque sur ce thème, en partenariat avec l’association Famille et Liberté.

Environ 140 participants étaient réunis pour entendre des experts (le Dr Anne-Laure Boch neurochirurgienne, Jérôme Brunet consultant, le Dr Christian Flavigny pédopsychiatre, Inès de Franclieu intervenante en milieu scolaire, Rita de Roucy psychologue thérapeute, Olivia Sarton, Aude Mirkovic et Sabine Le Conte, juristes) exposer les dangers de l’approche trans-affirmative des questionnements de genre chez les enfants, et donner des pistes de réflexion et d’action.

Nous travaillons en vue d’une publication des actes afin de faire parvenir cette expertise précieuse au plus grand nombre ! Pour écouter Aude Mirkovic évoquer le sujet :

Audition des jeunes par un rapporteur du Comité des droits de l’enfant de l’ONU
Deux jeunes du groupe « Nous, Enfants » (branche jeunes de notre association) ont été auditionnés au mois de septembre 2021 par Madame Suzanne Aho Assouma, membre expert du Comité des droits de l’enfant (CRC), rapporteure en charge du dossier de la France dans le cadre du 6ème examen annuel périodique de notre pays par cet organe de l’ONU. Cette audition faisait suite au rapport circonstancié adressé au CRC par le groupe de jeunes en 2020.
Les deux jeunes ont détaillé leurs arguments sur :
les ravages de la pornographie chez les enfants et les jeunes 
l’inadéquation de l’éducation à la sexualité et l’atteinte au respect des opinions et convictions des enfants dans le cadre scolaire ;
la compromission de la France vis-à-vis de la gestation pour autrui.
Nous travaillons maintenant en vue de la participation physique directe de deux jeunes du groupe « Nous, Enfants » à la réunion du Comité des droits de l’enfant à Genève.

Campagne nationale d’affichage contre l’idéologie du genre

50.000 AFFICHES CONTRE L’IDÉOLOGIE DU GENRE APPOSÉES PARTOUT EN FRANCE PAR LA MANIF POUR TOUS

A l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant le 20 novembre 2021, La Manif Pour Tous a lancé une grande campagne nationale pour dénoncer l’idéologie du genre, avant-garde du wokisme, dont les premières victimes sont les enfants : des milliers de volontaires ont pavoisé des centaines de villes, de Lille à Montpellier, de Brest à Lyon en passant par Rennes, Paris, Nantes, Marseille, Bordeaux, Poitiers ou Strasbourg !

L’apparition de « iel » dans Le Petit Robert a suscité un tollé justifié, mais il ne s’agit pas juste d’un nouveau mot difficile à accorder : il s’agit, bien plus, de déconstruction anthropologique : mariage de personnes de même sexe, filiation fictive avec deux mères ou deux pères, propagande pour l’identité et la fluidité de genre… autant de facettes de la même idéologie, diffusée partout, en particulier auprès de nos enfants et petits-enfants, sous couvert de lutte contre l’homophobie et la transphobie.

La campagne « l’idéologie ça ose tout, et c’est à ça qu’on la reconnaît » alerte les Français sur la falsification des mots qui sert cette propagande : « l’identité de genre » de la circulaire Blanquer, « la PMA pour toutes » des associations extrémistes LGBT et des politiques progressistes, « l’homme enceint » promu sur les réseaux sociaux, les « parent 1 et parent 2 » des formulaires administratifs…

Retrouvez la médiathèque des meilleures photos prises partout en France :

Circulaire Blanquer : « L’école face à la confusion des genres »

FIGAROVOX/TRIBUNE – Parue le 29 septembre, une circulaire de l’Éducation nationale a fixé les principes pour un meilleur accueil des élèves transgenres en milieu scolaire. Olivier Gosset, enseignant et président de l’association des « Enseignants pour l’enfance », considère que certaines préconisations du texte outrepassent largement les missions de l’école.

Intervention de la présidente de La Manif Pour Tous à la tribune de l’ONU

La présidente de La Manif Pour Tous a pris la parole à la tribune de l’ONU à l’occasion de la 80e session du Comité sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW) ce 3 novembre 2021.

Ludovine de La Rochère a en particulier appelé la Fédération de Russie à revoir son projet de loi visant à encadrer la pratique des mères porteuses.

La GPA, qui consiste à s’approprier une femme pour une durée déterminée et à s’approprier un enfant pour une durée indéterminée, est  un esclavage suivant l’article 1er de la Convention relative à l’esclavage (Genève, 1926) : « l’esclavage est l’état ou condition d’un individu sur lequel s’exercent les attributs du droit de propriété ou certains d’entre eux. »

La GPA, on ne l’encadre pas, on l’abolit !

Pour écouter Ludivine de La Rochère, cliquez sur l’image ou ici