« Les souffrances cachées de l’euthanasie » Documentaire inédit produit par les AFC.

Diffusion en live le 1er février 2024 sur YouTube.

Dans le contexte du débat sur l’aide active à mourir, les AFC présentent un documentaire tourné en Belgique avec la participation de professionnels de santé qui vivent directement les conséquences de la loi sur l’euthanasie votée en 2002. Le documentaire révèle que l’euthanasie ne supprime pas les souffrances, mais les déplace, sur les proches et les soignants.

Communiqué de presse
Sortie d’un documentaire inédit tourné en Belgique :
« Les souffrances cachées de l’euthanasie »

Dans le contexte du débat sur l’aide active à mourir, les AFC présentent un
documentaire tourné en Belgique avec la participation de professionnels de
santé qui vivent directement les conséquences de la loi sur l’euthanasie
votée en 2002.


Le documentaire sera diffusé en live sur YouTube le 1er février 2024
Sa projection sera organisée en différents lieux par le réseau des AFC. Ce
documentaire réalisé par Benoît Hautier, responsable de la communication de
la CNAFC, a été tourné en Belgique près de Leuven.


Que trouve-t-on dans le documentaire ?
Il a été conçu comme un recueil de témoignages de soignants confrontés à
l’euthanasie et à ses conséquences depuis plusieurs années. Les personnes
interrogées dans le documentaire sont :

Le professeur Timothy Devos, hématologue, référent des soins
palliatifs,

Le Dr An Haekens, psychiatre pour personnes âgées,

Éric Vermeer, infirmier en soins palliatifs, psychothérapeute et éthicien

François Truffin, infirmier en soins palliatifs,
ainsi que Jean-Paul Van de Walle, conseiller juridique.

Quel est l’objectif de ce documentaire ?
La volonté du réalisateur est de faire parler, sans tabou, des soignants et
experts aux charismes divers dans un pays qui a légalisé l’euthanasie il y a vingt
ans. Les expériences vécues renvoient aux questions de liberté de la personne
et de la dignité, mais dévoilent aussi les conséquences moins connues de
l’euthanasie : celles des souffrances collatérales qui continuent chez les
proches comme chez les tiers soignants…


« Le recul sur la loi en Belgique permet de se rendre compte d’une chose
effroyable, c’est que l’euthanasie ne supprime pas les souffrances, mais les
déplace sur les proches et les soignants. » – Benoît Hautier.

Une nouvelle année sous le signe de l’avortement ?

Un projet de loi constitutionnelle pour inscrire l’avortement dans la Constitution est présenté aujourd’hui au conseil des ministres.

La phrase suivante serait ajoutée à notre constitution : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. »

Cette liberté formulée sans limite dans la constitution pourrait contribuer à faire glisser sans cesse les conditions d’accès à l’IVG, en particulier la clause de conscience des soignants et les délais d’accès.

La clause de conscience des soignants était une condition du vote de la loi Veil, en 1975. Elle s’applique à tous les soignants, pas seulement aux médecins. Pour les promoteurs de l’avortement, l’objection de conscience est le principal obstacle actuel. L’IVG, en étant inscrite dans la Constitution, deviendrait une liberté fondamentale. Elle mènerait à la fin de la liberté de conscience des soignants qui ne pourraient pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme. Les délais d’accès pourraient, eux, à nouveau glisser au fallacieux prétexte des difficultés d’accès à l’IVG.

Les choses pourraient aller très rapidement. Le projet de loi constitutionnelle arriverait en discussion au Parlement début 2024 et, s’il était voté à l’identique par les deux Chambres, pourrait être ratifié par le Congrès début mars.

Que faire ?

La Marche pour la vie aura lieu le 21 janvier : nous vous invitons à y participer très nombreux.

D’ici là, nous vous proposons une mobilisation virtuelle sous la forme d’un micro-trottoir digital en répondant à la simple question : « Que pensez-vous de l’inscription de l’avortement dans la constitution ? ». Pour participer scanner le QR code ci-dessous.

Soyons nombreux à donner notre avis et notre témoignage. Nos retours seront très précieux pour répondre avec conscience et vigueur à la publication de ce projet de loi !

Pascale Morinière, Présidente de la Confédération Nationale des AFC.

Comment participer ?

Pour utiliser cet outil, suivez les instructions en scannant le QR Code ci-dessus.

Une fois le QR Code scanné, vous serez redirigé vers l’application.

La question s’affichera alors : « L’inscription de l’avortement dans la Constitution est-elle une erreur ? ».

  • Pour donner votre réponse, cliquez sur « Participez ».
  • L’application vous demandera de débloquer la caméra et le micro. Débloquez-les et passer à l’étape suivante.
  • Dans l’écran suivant, dès que vous êtes prêts, cliquez sur « Démarrer » et vous aurez 30 secondes pour parler.
  • Vous avez ensuite la possibilité de recommencer si votre prestation ne vous a pas plu.
  • Pour passer à l’étape suivante, validez votre vidéo.
  • Entrez ensuite votre email, un pseudo et votre code postal.
  • Cochez les Conditions Générales d’Utilisations puis validez.

Votre vidéo sera traitée et ensuite diffusée sur les réseaux sociaux et lors de la Marche pour la Vie, le 21 janvier 2024.

Merci pour votre engagement !

Une nouvelle année sous le signe de l’avortement ?

Un projet de loi constitutionnelle pour inscrire l’avortement dans la Constitution est présenté aujourd’hui au conseil des ministres.

La phrase suivante serait ajoutée à notre constitution : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. »

Cette liberté formulée sans limite dans la constitution pourrait contribuer à faire glisser sans cesse les conditions d’accès à l’IVG, en particulier la clause de conscience des soignants et les délais d’accès.

La clause de conscience des soignants était une condition du vote de la loi Veil, en 1975. Elle s’applique à tous les soignants, pas seulement aux médecins. Pour les promoteurs de l’avortement, l’objection de conscience est le principal obstacle actuel. L’IVG, en étant inscrite dans la Constitution, deviendrait une liberté fondamentale. Elle mènerait à la fin de la liberté de conscience des soignants qui ne pourraient pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme. Les délais d’accès pourraient, eux, à nouveau glisser au fallacieux prétexte des difficultés d’accès à l’IVG.

Les choses pourraient aller très rapidement. Le projet de loi constitutionnelle arriverait en discussion au Parlement début 2024 et, s’il était voté à l’identique par les deux Chambres, pourrait être ratifié par le Congrès début mars.

Que faire ?

La Marche pour la vie aura lieu le 21 janvier : nous vous invitons à y participer très nombreux.

D’ici là, nous vous proposons une mobilisation virtuelle sous la forme d’un micro-trottoir digital en répondant à la simple question : « Que pensez-vous de l’inscription de l’avortement dans la constitution ? ». Pour participer scanner le QR code ci-dessous.

Soyons nombreux à donner notre avis et notre témoignage. Nos retours seront très précieux pour répondre avec conscience et vigueur à la publication de ce projet de loi !

Pascale Morinière, Présidente de la Confédération Nationale des AFC.

Comment participer ?

Pour utiliser cet outil, suivez les instructions en scannant le QR Code ci-dessus.

Une fois le QR Code scanné, vous serez redirigé vers l’application.

La question s’affichera alors : « L’inscription de l’avortement dans la Constitution est-elle une erreur ? ».

  • Pour donner votre réponse, cliquez sur « Participez ».
  • L’application vous demandera de débloquer la caméra et le micro. Débloquez-les et passer à l’étape suivante.
  • Dans l’écran suivant, dès que vous êtes prêts, cliquez sur « Démarrer » et vous aurez 30 secondes pour parler.
  • Vous avez ensuite la possibilité de recommencer si votre prestation ne vous a pas plu.
  • Pour passer à l’étape suivante, validez votre vidéo.
  • Entrez ensuite votre email, un pseudo et votre code postal.
  • Cochez les Conditions Générales d’Utilisations puis validez.

Votre vidéo sera traitée et ensuite diffusée sur les réseaux sociaux et lors de la Marche pour la Vie, le 21 janvier 2024.

Merci pour votre engagement !

PROJET STRATEGIQUE DES AFC 2024-2028

Ce projet stratégique est le résultat de la démarche « Vision des AFC » menée avec
Philippe Royer et le cabinet Caïros. Ce travail de réflexion a associé de nombreuses
parties prenantes : membres du Conseil d’administration et du Bureau de
la CNAFC, présidents et responsables d’AFC et de fédérations, adhérents,
permanents et partenaires. Son but était de rappeler la raison d’être de notre
mouvement familial et de nous fixer des axes concrets de développement pour
les cinq prochaines années avec des objectifs chiffrés réalistes et significatifs de
notre ambition commune

AU SUJET DU PROJET DE LOI CONSTITUTIONNELLE VISANT A INSCRIRE L’IVG DANS LA CONSTITUTION.

Le 13 décembre prochain, le projet de loi1 constitutionnelle visant à inscrire l’IVG dans la Constitution sera présenté au Conseil des ministres. Il arrivera devant le Parlement au début du premier trimestre 2024. Le texte devra être voté à l’identique par les deux Chambres avant sa validation éventuelle par le Congrès, début mars. Les choses pourraient aller très vite. Le texte serait rédigé ainsi : « La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. »

Certains disent que cette constitutionnalisation de la « liberté des femmes de recourir à l’IVG » est un moindre mal par rapport au « droit à recourir à l’IVG ».

Le principal défaut du moindre mal est que ceux qui y ont eu recours oublient très vite qu’il s’agit d’un mal comme l’explique Jean-Paul II dans Veritatis splendor (6 août 1993) : « Quant aux actes qui sont par eux-mêmes des péchés (cum iam opera ipsa peccata sunt) — écrit saint Augustin —, comme le vol, la fornication, les blasphèmes, ou d’autres actes semblables, qui oserait affirmer que, accomplis pour de bonnes raisons (causis bonis), ils ne seraient pas des péchés ou, conclusion encore plus absurde, qu’ils seraient des péchés justifiés ? De ce fait, les circonstances ou les intentions ne pourront jamais transformer un acte intrinsèquement malhonnête de par son objet en un acte « subjectivement » honnête ou défendable comme choix. » VS §81

Quelles seraient les conséquences d’une constitutionnalisation de l’IVG ?

La voie serait ouverte pour allonger sans limite les délais de l’avortement et pour limiter la liberté de conscience des soignants. Celle-ci était une condition du vote de la loi Veil, en 1975. Elle s’applique à tous les soignants, pas seulement aux médecins. On sait que pour les promoteurs de l’avortement, l’objection de conscience est le principal obstacle actuel. Si l’IVG, inscrite dans la Constitution, devient une liberté fondamentale elle mènera à la fin de la liberté de conscience des soignants qui ne pourront pas s’opposer à une liberté fondamentale de la femme2.

Et la loi sur la fin de vie ?

La dernière interview du ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, dans Libération, le 23 novembre, sous-entend une présentation du texte en 2024. Les hésitations du président de la République reportent l’avancée de ce texte. Nous restons très attentifs.

Nous vous donnons rendez-vous le 11 janvier 2024 au soir en ligne pour des précisions sur le calendrier et sur notre mobilisation.

Je serai heureuse de marcher avec vous le 21 janvier prochain à Paris à l’occasion de la Marche pour la vie.

Nous vous proposerons une projection en live du documentaire des AFC : « Les souffrances cachées de l’euthanasie » sur les conséquences de la loi belge, le 1er février.

Enfin, nous tracterons les 2,3 et 4 février pour la vie.

Notre agenda est chargé début 2024, prenons des forces dans ce temps de l’Avent qui nous annonce la venue du Prince de la Paix !

Pascale Morinière

Présidente des AFC