Votre avis nous intéresse !

Chers adhérents,

Votre fédération est plus que jamais à votre écoute en ces temps difficiles.

Faites-nous savoir par courriel à fafcrhone@hotmail.fr si vous avez des idées de services que nous pourrions mettre en place entre adhérents du Rhône.

Il s’agirait d’une mise en relation entre adhérents pour permettre par exemple à des personnes âgées de trouver une dame de compagnie membre des AFC…

Nous attendons vos suggestions !

Laissez-nous un numéro de téléphone, afin que nous puissions vous rappeler.

La fédération des 5 AFC du Rhône

Lettre des AFC du Rhône à François-Noël BUFFET, Sénateur du Rhône, qui s’est abstenu de participer au vote sur la bioéthique…

18 février 2020

Monsieur François-Noël Buffet, Sénateur du Rhône

Monsieur le Sénateur,

A la suite du vote du Sénat le 4 février sur le projet de loi bioéthique, nous avons été très surpris par votre absence de participation. Elle est d’autant plus mal ressentie que l’écart était d’une dizaine de voix seulement.

Un collègue de confiance ne pouvait-il voter par procuration ?

À la suite de nos deux rencontres, vous ne pouviez ignorer l’immense enjeu de ce vote à nos yeux. Et vous nous aviez expressément déclaré que la grande majorité de votre groupe LR s’opposerait au projet, comme vous-même. Ce qu’avait d’ailleurs auguré votre vote du 22 janvier. Et nous n’avions pas manqué d’en informer nos adhérents et sympathisants.

Dans les rangs de nos familles, c’est un tollé d’incompréhension et de déception ; et les réactions les moins extrêmes évoquent, pour le moins, une négligence…

Nous aussi voulons le croire. Mais nous attendons de vous une mise au point.

Elle sera d’autant plus intensément scrutée que, en cette période électorale, la susceptibilité de l’opinion est exceptionnellement exacerbée. Croyez bien que nous la transmettrons sans délai à nos centaines de familles du Rhône, car elles sont très mobilisées et l’attendent avec une réelle et très sincère angoisse.

Veuillez croire, Monsieur le Sénateur, à nos sentiments respectueux.

Noyale GIRARD Présidente de la Fédération AFC du Rhône

Christian GRAVIER Président AFC Villefranche-Beaujolais Fédération des AFC du Rhône – 4, Rue des Remparts d’Ainay – 69

Les AFC de Villefranche, demandent au Maire d’interdire une affiche provocante d’AIDES

Monsieur Thomas RAVIER
Maire de Villefranche sur Saône

Villefranche sur Saône, le 25 janvier 2019

Monsieur le maire,

Notre association familiale a été interpellée par plusieurs parents, très choqués de voir exposée en plusieurs endroits l’affiche ci-jointe à Villefranche, ces derniers jours.
En pièce jointe : la photo d’un panneau JCDecaux d’information municipale (rue Nationale, à hauteur du n°561) le jeudi 17 janvier, toujours visible ce jour.

Elle est diffusée par le réseau AIDES, membre de la coalition internationale Sida, visant apparemment à la prévention du risque sanitaire lié au « Sexe entre hommes ».
Le support visuel présente deux hommes s’enlaçant, et un message « un comprimé par jour vous protège du VIH ».

À notre sens, ces images sont provocantes, particulièrement pour les jeunes enfants.
Ils sont nombreux dans cette artère très active et nous sommes à la veille du week-end des conscrits !!!
Cette affiche s’impose sur la voie la plus passante de notre ville, sans se soucier de l’appréciation par les parents de la sensibilité des enfants. Et l’on se voit contraint brusquement à aborder en famille le sujet des pratiques homosexuelles masculines, tant sexuelles que comportementales.

D’autre part, cette campagne donne une image dévalorisante des personnes homosexuelles, qui semblent réduites à des pratiques sexuelles dangereuses et qui interrogent.
Elle rappelle vraiment une campagne d’affichage sur le même thème, survenue fin 2016 dans toute la France. Les réactions nombreuses avaient alors donné lieu à leur enlèvement.

Notre association ne conteste en aucune façon le besoin d’information pour préserver la santé de nos concitoyens dont le choix de vie exige le respect et à laquelle nous souscrivons.
Mais l’annonceur n’a pu ignorer qu’une telle approche sur la voie publique susciterait la polémique, surtout après celle de 2016.
Aussi nous interrogeons-nous sur sa stratégie : apparemment, sa priorité est la prévention auprès d’une population restreinte et parfaitement identifiée, quoique disposant de ses propres relais médiatiques. Or, de fait, cette « publicité-remède » très crue aboutit davantage à diffuser et banaliser le problème qu’à le résoudre.

Cette situation nous semble relever de l’article L227-24 du code Pénal*.
En conséquence, notre AFC sollicite de votre part le retrait de ces affiches.

Avec notre profond respect et dans l’attente d’une action immédiate de votre part croyez en toute ma considération.

Christian GRAVIER
Président de l’AFC Villefranche-Beaujolais

*Article 227-24
Modifié par LOI n°2014-1353 du 13 novembre 2014 – art. 7
Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent, incitant au terrorisme, pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine ou à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger, soit de faire commerce d’un tel message, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.

L’AFC de Villefranche-Beaujolais réclame au Maire l’enlèvement d’une affiche publicitaire provoquante du réseau AIDES

Monsieur le maire,

Notre association familiale a été interpellée par plusieurs parents, très choqués de voir exposée en plusieurs endroits l’affiche ci-jointe à Villefranche, ces derniers jours.

En pièce jointe : la photo d’un panneau JCDecaux d’information municipale (rue Nationale, à hauteur du n°561) le jeudi 17 janvier, toujours visible ce jour. Elle est diffusée par le réseau AIDES, membre de la coalition internationale Sida, visant apparemment à la prévention du risque sanitaire lié au « Sexe entre hommes ». Le support visuel présente deux hommes s’enlaçant, et un message « un comprimé par jour vous protège du VIH ».

À notre sens, ces images sont provocantes, particulièrement pour les jeunes enfants. Ils sont nombreux dans cette artère très active et nous sommes à la veille du week-end des conscrits !!! Cette affiche s’impose sur la voie la plus passante de notre ville, sans se soucier de l’appréciation par les parents de la sensibilité des enfants. Et l’on se voit contraint brusquement à aborder en famille le sujet des pratiques homosexuelles masculines, tant sexuelles que comportementales.

D’autre part, cette campagne donne une image dévalorisante des personnes homosexuelles, qui semblent réduites à des pratiques sexuelles dangereuses et qui interrogent.

Elle rappelle vraiment une campagne d’affichage sur le même thème, survenue fin 2016 dans toute la France. Les réactions nombreuses avaient alors donné lieu à leur enlèvement.

Notre association ne conteste en aucune façon le besoin d’information pour préserver la santé de nos concitoyens dont le choix de vie exige le respect et à laquelle nous souscrivons. Mais l’annonceur n’a pu ignorer qu’une telle approche sur la voie publique susciterait la polémique, surtout après celle de 2016.

Aussi nous interrogeons-nous sur sa stratégie : apparemment, sa priorité est la prévention auprès d’une population restreinte et parfaitement identifiée, quoique disposant de ses propres relais médiatiques. Or, de fait, cette « publicité-remède » très crue aboutit davantage à diffuser et banaliser le problème qu’à le résoudre.

Cette situation nous semble relever de l’article L227-24 du code Pénal*. En conséquence, notre AFC sollicite de votre part le retrait de ces affiches.

Avec notre profond respect et dans l’attente d’une action immédiate de votre part croyez en toute ma considération.

Christian GRAVIER

Président de l’AFC Villefranche-Beaujolais

*Article 227-24 Modifié par LOI n°2014-1353 du 13 novembre 2014 – art. 7 Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent, incitant au terrorisme, pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine ou à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant physiquement en danger, soit de faire commerce d’un tel message, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.